La recherche de la performance n'épargne pas la sexualité. Et dans ce domaine, l'offre ne manque pas, particulièrement sur Internet. Mais attention aux dangers de ces remèdes miracles et de l'automédication. Simples placebos ou poisons, il est difficile de savoir ce que contiennent les stimulants érectiles vendus sur la toile.
S'il est un lieu où l'usage de stimulants érectiles semble coutumier, c'est sur les tournages de films pornographiques. Impossible pour les acteurs d'avoir une panne, au risque de ne plus trouver de travail. Certains ont donc recours à des produits pharmaceutiques.
Il n'est pas toujours simple de parler de sexualité, même avec son médecin. Et parfois, la prise de ces produits ne se justifie pas d'un point de vue médical, le consommateur recherchant avant tout une augmentation de ses performances. Il est alors tentant de se tourner vers l'automédication et Internet, qui regorge de produits en tout genre. Un choix qui peut s'avérer risqué.
Il est indispensable de consulter un médecin lorsque l'on souffre de troubles érectiles. Ces dysfonctionnements peuvent avoir plusieurs origines : l'âge, une opération, une maladie physique ou psychique. Ils peuvent, par exemple, être le signe d'une maladie cardiaque, de diabète ou encore de troubles hormonaux. L'automédication, dans de tels cas, représente donc un risque pour le patient.
De tout temps, la médecine a cherché des remèdes aux troubles érectiles. C'est le cas pour la médecine chinoise, avec ses 5000 ans d'histoire. En Chine, les traitements se font à base de plantes et d'animaux. Et si ces traitements n'ont pas l'efficacité et la rapidité du Viagra, ils présentent d'autres avantages, comme des effets secondaires moins importants selon le Dr. Fu, expert de l'Académie de médecine chinoise.
Comme on trouve de tout sur Internet, nous avons voulu réaliser notre propre test, avec l’aide du Centre Universitaire Romand de Médecine légale. Le laboratoire a recherché les substances actives susceptibles d’avoir un véritable effet médicamenteux dans un échantillon de 11 produits achetés sur la toile.
La famille Rey n'y croyait plus. En 2005, Marie-Hélène et Pierre-Joseph décident d'investir dans une véranda. Ils versent 22.000 CHF d'acompte à l'entreprise "ACV menuiserie", une entreprise française dissoute aujourd’hui. Problèmes d'étanchéité, puis d'affaissement; la construction menace de s'effondrer. Les Rey saisissent la justice, mais rien ne bouge, sauf leurs dépenses. Ils perdent encore 15.000 CHF en frais d'avocat.