Vies de Ramuz, l’écrivain vaudois par l’image (1/5)
La complexité d’une posture.
De son vivant et après sa mort, le 23 mai 1947, Ramuz n’a cessé de grandir aux yeux du monde littéraire, du public et des médias au point d’en devenir une icône du Pays romand. L’ampleur de l’œuvre en explique partiellement la raison mais en artiste très soucieux de son image, C.F.R. a travaillé lui-même à sa reconnaissance, avec une pointe d’orgueil que son regard d’épervier trahit sur plusieurs portraits.
En feuilletant l’album "Vies de Ramuz" avec Daniel Maggetti et Stéphane Pétermann, directeur et responsable de recherche au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’Université de Lausanne par Christian Ciocca (29 novembre 2013, Dorigny)
Par Jean-Philippe Zwahlen et Christian Ciocca
De son vivant et après sa mort, le 23 mai 1947, Ramuz n’a cessé de grandir aux yeux du monde littéraire, du public et des médias au point d’en devenir une icône du Pays romand. L’ampleur de l’œuvre en explique partiellement la raison mais en artiste très soucieux de son image, C.F.R. a travaillé lui-même à sa reconnaissance, avec une pointe d’orgueil que son regard d’épervier trahit sur plusieurs portraits.
En feuilletant l’album "Vies de Ramuz" avec Daniel Maggetti et Stéphane Pétermann, directeur et responsable de recherche au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’Université de Lausanne par Christian Ciocca (29 novembre 2013, Dorigny)
Par Jean-Philippe Zwahlen et Christian Ciocca