Vies de Ramuz, l’écrivain vaudois par l’image (3/5)
Ramuz topographe.
On parle de la langue-geste de Ramuz, attentive dans son oralité à dégager avec les mots et dans une syntaxe singulière des blocs sonores. On peut aussi souligner une préoccupation constante du terrain, des vignes du Lavaux ou de la Côte à la montagne. Plus soucieux de géographie que d’histoire, l’écrivain s’est projeté et a situé ses personnages dans des lieux révélateurs, soit d’une domestication viticole proche de l’écriture, soit d’un milieu alpin indomptable, propice aux destinées tragiques.
En feuilletant l’album "Vies de Ramuz" avec Daniel Maggetti et Stéphane Pétermann, directeur et responsable de recherche au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’Université de Lausanne par Christian Ciocca (29 novembre 2013, Dorigny)
Par Jean-Philippe Zwahlen et Christian Ciocca
On parle de la langue-geste de Ramuz, attentive dans son oralité à dégager avec les mots et dans une syntaxe singulière des blocs sonores. On peut aussi souligner une préoccupation constante du terrain, des vignes du Lavaux ou de la Côte à la montagne. Plus soucieux de géographie que d’histoire, l’écrivain s’est projeté et a situé ses personnages dans des lieux révélateurs, soit d’une domestication viticole proche de l’écriture, soit d’un milieu alpin indomptable, propice aux destinées tragiques.
En feuilletant l’album "Vies de Ramuz" avec Daniel Maggetti et Stéphane Pétermann, directeur et responsable de recherche au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’Université de Lausanne par Christian Ciocca (29 novembre 2013, Dorigny)
Par Jean-Philippe Zwahlen et Christian Ciocca