Vies de Ramuz, l’écrivain vaudois par l’image (4/5)
Comptable d’une œuvre.
Pour Ramuz, un sous était un sou. Loin de la bohème artistique dont se parent volontiers les carrières littéraires, il administra la sienne avec rigueur, sens du détail et souci financier permanent, ayant choisi dès la trentaine de vivre de sa plume. Conférences et lectures publiques, articles, souscriptions diverses devaient assurer l’aisance matérielle d’une vie bourgeoise que l’écrivain solitaire n’a jamais remise en cause.
En feuilletant l’album "Vies de Ramuz" avec Daniel Maggetti et Stéphane Pétermann, directeur et responsable de recherche au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’Université de Lausanne par Christian Ciocca (29 novembre 2013, Dorigny)
Par Jean-Philippe Zwahlen et Christian Ciocca
Pour Ramuz, un sous était un sou. Loin de la bohème artistique dont se parent volontiers les carrières littéraires, il administra la sienne avec rigueur, sens du détail et souci financier permanent, ayant choisi dès la trentaine de vivre de sa plume. Conférences et lectures publiques, articles, souscriptions diverses devaient assurer l’aisance matérielle d’une vie bourgeoise que l’écrivain solitaire n’a jamais remise en cause.
En feuilletant l’album "Vies de Ramuz" avec Daniel Maggetti et Stéphane Pétermann, directeur et responsable de recherche au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’Université de Lausanne par Christian Ciocca (29 novembre 2013, Dorigny)
Par Jean-Philippe Zwahlen et Christian Ciocca