Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- "Left Foot Right Foot" de Germinal RoauxMarie, 19 ans, est attirée par l’argent facile. Sans s’en rendre compte vraiment, elle va glisser dans la prostitution. Elle décide de n’en rien dire à son compagnon, Vincent, un jeune skateur de 21 ans insouciant qui doit du fric à tout le monde et n’arrive pas à devenir adulte. Marie et Vincent vont être pris dans le tourbillon de la vie, happés par une société dont la culture est celle de l’argent, de l’apparence et du fantasme perpétuel. Témoin de leurs mensonges et de leurs secrets, Mika, le frère autiste et muet de Vincent va être, lui aussi, pris au piège…
Téléphone avec le réalisateur Germinal Roaux. Le film est projeté au Cinéma Grütli à Genève dans le cadre de la semaine des nominés, du 17 au 23 mars 2014. - Colloque "Sauver les meubles"L'Arham (Association romande des historiennes et des historiens de l’art monumental) organise le 21 mars 2014 un nouveau colloque intitulé "Sauver les meubles. Patrimoine mobilier: théorie, pratique, législation".
Rencontre avec Carl Magnusson, enseignant à l'Université de Lausanne en histoire de l'art et intervenant au cours de colloque, et Bruno Corthésy, historien de l'architecture et président de l'Arham. - "La Cour de Babel", de Julie BertuccelliDocumentariste et cinéaste de fiction, Julie Bertuccelli ("Depuis qu’Otar est parti", 2003) s’est immergée durant une année dans la classe d’accueil d’un collège parisien, où elle a filmé des élèves de toutes origines et de tous milieux qui tentent d’apprendre une nouvelle langue et de comprendre le pays qui les accueille.
Par Raphaële Bouchet. - "Le petit prince écarlate"Voici Cendrillon… quinze ans plus tard. Ses pieds ont gonflé, son prince a filé. Il lui reste un fils oedipien, un fou, deux belles filles zinzin et un château aussi riant que celui de Dracula. Les contes sont parfois bien cruels et… drôles.
Thierry Sartoretti en est ressorti aussi baba et content que le jeune public (dès sept ans) du Petit Théâtre de Lausanne. Explications en compagnie de Sophie Gardaz, co-responsable de la mise en scène. - Vies de Ramuz, l’écrivain vaudois par l’image (4/5)Comptable d’une œuvre
Pour Ramuz, un sou était un sou. Loin de la bohème artistique dont se parent volontiers les carrières littéraires, il administra la sienne avec rigueur, sens du détail et souci financier permanent, ayant choisi dès la trentaine de vivre de sa plume. Conférences et lectures publiques, articles, souscriptions diverses devaient assurer l’aisance matérielle d’une vie bourgeoise que l’écrivain solitaire n’a jamais remise en cause.
En feuilletant l’album "Vies de Ramuz" avec Daniel Maggetti et Stéphane Pétermann, directeur et responsable de recherche au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’Université de Lausanne par Christian Ciocca (29 novembre 2013, Dorigny)
Par Jean-Philippe Zwahlen et Christian Ciocca
[Nouvelle diffusion de l'émission du 16 au 20 décembre 2013]