Dans une interview accordée à la RTS, Valérie Trierweiler explique son engagement contre les viols de masse et les mutilations en République démocratique du Congo et son appui personnel à l'hôpital de Panzi, qui a déjà soigné 40'000 femmes victimes de ces atrocités.
Le viol, un crime de guerre
La compagne du président français François Hollande demande la fin de l'impunité et des tribunaux pour les responsables de ces actes. "Quand on parle de 500'000 femmes violées depuis 13 ans et que le viol est utilisé comme arme de guerre on peut parler de crimes de guerre".
La Première dame de France entend s'engager contre les violences faites aux femmes à l'échelon mondial: "C'est un combat universel. Ce qu'on fera pour la République démocratique du Congo servira d'exemple."
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Aussi "entêtée" que Danielle Mitterrand
Collaborant avec la Fondation France Libertés, fondée par Danielle Mittterrand, Valérie Trierweiler explique comment elle envisage à l'avenir son rôle de Première Dame engagée dans l'humanitaire: "Je suis fière de mettre mes petits pas dans les grands pas de Danielle Mitterrand".
À la question de savoir si elle est aussi "entêtée" que Danielle Mitterrand l'était, et si elle reprend le mot à son compte, elle répond en riant: "J'espère ... Vous le verrez!"