A quoi servent les maths?
Les mathématiques, ça sert à quelque chose. Sans elles, pas de fusée, pas de voiture, ou pire, pas de smartphone.
Pour nous en convaincre, Pierre Bratschi a invité Martin Hairer, lauréat de la médaille Fields, souvent définie comme étant le Nobel des maths. Martin Hairer donne une conférence à Genève le 17 mars 2015. Son thème: "A quoi servent les maths?".
Pour nous en convaincre, Pierre Bratschi a invité Martin Hairer, lauréat de la médaille Fields, souvent définie comme étant le Nobel des maths. Martin Hairer donne une conférence à Genève le 17 mars 2015. Son thème: "A quoi servent les maths?".
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Phénomènes climatologiques et saison des tornadesGrâce au retour des phénomènes climatologiques El Niño et La Niña, des chercheurs américains peuvent prévoir la nouvelle saison des tornades aux Etats Unis.
Pour mieux comprendre ce qui relie les phénomènes climatologiques et les tornades américaines, Anne Baecher a invité Olivier Duding, météorologue à MétéoSuisse et chasseur de tornades à ses heures. - A quoi servent les maths?Les mathématiques, ça sert à quelque chose. Sans elles, pas de fusée, pas de voiture, ou pire, pas de smartphone.
Pour nous en convaincre, Pierre Bratschi a invité Martin Hairer, lauréat de la médaille Fields, souvent définie comme étant le Nobel des maths. Martin Hairer donne une conférence à Genève le 17 mars 2015. Son thème: "A quoi servent les maths?". - Quand les maths façonnent les corpsQuel est le rapport entre les mathématiques et la répartition des taches sur le pelage d’un léopard? Comment peut-on utiliser les nombres pour expliquer la formation des spirales d’un chou romanesco ou le cœur d’un tournesol? Antoine Droux se penche sur la morphogenèse, la science qui étudie les mécanismes responsables de l’émergence de formes en biologie.
Intervenants: Christian Mazza, professeur au Département de mathématiques de l’Université de Fribourg, Christian Fankhauser, professeur au Laboratoire intégratif de génomique de l’Université de Lausanne, et Michel Milinkovitch, responsable du Laboratoire d'évolution naturelle et artificielle à l’Université de Genève.