Isabelle Carré et Lionel Baier "La dérive des continents (au sud)"
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- ACTU CULTUREPour le Roi! James.
Delon soutient Zelensky.
Pas de retraite pour le flic de Beverley Hills. - Les invité.e.s :Isabelle Carré et Lionel Baier "La dérive des continents (au sud)"Une comédie dramatique avec l'UE en toile de fond
Nathalie Adler est en mission pour l'Union européenne en Sicile. Elle est notamment chargée d'organiser la prochaine visite d'Emmanuel Macron et Angela Merkel dans un camp de migrants. Présence à haute valeur symbolique, afin de montrer que tout est sous contrôle. Mais qui a encore envie de croire en cette famille européenne au bord de la crise de nerfs? Sans doute pas Albert, le fils de Nathalie, militant engagé auprès d'une ONG, qui débarque sans prévenir alors qu'il a coupé les ponts avec elle depuis des années. Leurs retrouvailles vont être plus détonantes que ce voyage diplomatique…
A voir en salles romandes dès le 21 septembre.
Isabelle Carré et Lionel Baier sont les invité.e.s de Pierre Philippe Cadert. - "Là" de Baro dʹEvelUn décor blanc comme du papier à dessin. Des câbles, des instruments à cordes, de la peinture noire et un oiseau. C’est “Là”, création de la formidable compagnie franco-catalane Baro d’Evel entre cirque, danse, arts plastiques et plus si entente. A découvrir à Vidy-Lausanne jusqu’au 2 octobre. Comment crée-t-on avec un corbeau?
Réponses de Camille Decourtye au micro de Thierry Sartoretti. - Intégrale interview Isabelle Carré et Lionel Baier
- David Bowie et la bonne vieille chanson françaiseEn 1968, un jeune anglais du nom de David Jones tentait une traduction de «Comme d’habitude», finalement pas retenue. Trois ans plus tard, ce même David Bowie utilisait les accords de la chanson de Claude François pour construire les couplets de l’un de ses plus grands hits: «Life on Mars?». Mais ce n’est pas le seul titre de Bowie que l’on peut s’amuser à rapprocher de la bonne vieille chanson française. De Joe Dassin à Hervé Villard, quelques remixes à garder dans l’oreille toute la journée. Une chronique de Pierre-Do Bourgknecht.