Depuis près de quarante ans, la Suisse favorise la réintroduction d'espèces disparues. Si pour le castor et le gypaète la cause est acquise, il en va autrement des prédateurs tels le loup, le lynx ou l'ours. Un retour qui éclaire notre rapport paradoxal aux animaux sauvages : seules les implantations voulues par l'homme sont acceptées. Malheur au loup qui revient de lui-même…
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