La censure est désormais un peu moins sévère vis-à-vis de la presse d'opposition. [Soe Zeya Tun]

La Birmanie relâche un peu la pression sur les médias

Le 13 novembre 2010, la dissidente birmane Aung San Suu Kyi retrouvait la liberté. La junte militaire au pouvoir l’avait assignée à résidence pendant plus de quinze ans. Depuis sa libération, la Prix Nobel de la Paix négocie régulièrement avec le nouveau gouvernement civil birman et le pouvoir semble relâcher un peu la pression - notamment en matière de contrôle des médias. La censure qu’applique le régime sur toute la presse est moins stricte qu’auparavant. Le reportage du correspondant de la RSR à Rangoun, Rémy Favre.
La Birmanie relâche un peu la pression sur les médias