Le Journal du matin

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Présenté par Valérie Droux.

Par Sandra Viscardi.

La semaine de la mobilité douce arrive, ce week-end, à son terme. Des initiatives ont eu lieu un peu partout en Suisse pour présenter au grand public d'autres solutions que la voiture individuelle et la moto. A Bienne, par exemple, un projet appelé "Mobiclean" a proposé à une vingtaine de personnes d'abandonner, durant un mois, la voiture et de se déplacer gratuitement sans porter atteinte au climat.

A l’approche des élections fédérales, les symboles chrétiens dans l’espace public reviennent sur le devant de la scène. Par Gabrielle Desarzens.

Par Simon Corthay.

Tirant les conséquences de la sortie du nucléaire annoncée par l’Allemagne, le géant industriel Siemens a annoncé ce week-end clore définitivement son aventure dans l’énergie atomique. Une mutation industrielle qui répond à l'air du temps en Allemagne et qui s'inscrit dans une nouvelle logique économique que l'on appelle le "corporate social responsibility". Invité: Arnaud Dotézac, chargé de cours à l'Université de Genève et spécialiste de la mondialisation du droit.

François-Xavier Amherdt, "Redsleeves" de Hans Rooth Octuor Vocal de Sion, "I'm a train" Prélude à la Basilique de Valère, de Sander von Marion

Présenté par Dominique Choffat.

Par Romain Clivaz.

Etre ou ne pas être sur les réseaux sociaux? Telle n'est plus la question pour cette campagne 2011, car on l'observe désormais, la grande majorité des politiques romands s'y trouve. C'est une présence plus ou moins authentique, plus ou moins efficace. Mais peut-on apprendre à faire campagne sur les réseaux? C'est la question que nous posons dans ce deuxième numéro de Politicus Numericus.

Cela bouchonne toujours plus sur les routes suisses et l'on remarque une augmentation d’un tiers des embouteillages l’année dernière par rapport à 2009. En 20 ans, le trafic a tout simplement doublé sur le réseau routier du pays. Ces chiffres ont été publiés jeudi par l’Office fédéral des routes. Ils montrent que l’on s’approche du point de saturation. Une évolution préoccupante pour Caroline Beglinger, responsable de la politique des transports à l’Association Transports et Environnement (ATE). Son interview.

Octobre 2008: la crise financière vient d’éclater, elle oblige les pays occidentaux à consentir à de coûteux plans de sauvetage de leurs banques. Lors d’une réunion à Paris de l’OCDE (à laquelle la Suisse ne participait pas), l’Allemagne dégaine la première. Pour son bouillant ministre des Finances Peer Steinbrueck, “la Suisse a sa place sur la liste noire des paradis fiscaux”. Et pour la forcer à arrêter d’inciter l’évasion fiscale, il faut non seulement manier “la carotte”, mais aussi “le bâton” - “le fouet”, selon l’expression allemande.

Un commentaire de Pascal Jeannerat. Le débat continue sur http://signature.rsr.ch

Un programme politique et deux candidats pour le défendre: Du 15 au 30 septembre, Nicole Lamon et Vincent Bourquin accueillent deux représentants des principaux partis politiques, en direct de la Salle des pas perdus du Palais fédéral. Ce vendredi, le Parti évangélique suisse est représenté par Valérie Kasteler-Budde (GE) et Steve Tanner (VD).

Présenté par Joël Marchetti.

L'interview de DSK, dimanche dernier sur TF1, ouvre un nouveau débat. Le chroniqueur -très en vue- David Abiker, met en lumière le contraste entre la relative platitude de l'interview, et la vivacité des milliers de commentaires, en direct, via les réseaux sociaux comme Twitter. Pour David Abiker, le modèle de prise de parole du haut vers le bas qu’autorise la télévision est mort. Pour l'instant, les télévisions font "le dos rond", mais demain, la technologie permettra de diviser l'écran en deux, entre le contenu "traditionnel" et les contenus "augmenté" et ce jour là, "l'influence aura changé de camp". En même temps, que vaut un "twit"? Quelle est la véritable valeur informative d'un simple commentaire laissé sur les réseaux sociaux? Le débat entre Gilles Marchand, directeur de la RTS et David Abiker, journaliste, chroniqueur (Europe1 - l'Express - TV5), spécialiste médias.

[L’exécution de Troy Davis] restera comme une tache sur la justice des États-Unis. […] C'est une très grande défaite, bien au-delà des Etats-Unis, pour l'humanité. (Robert Badinter, 22.09.2011, sur Europe 1)