Les Israéliens et les Palestiniens peinent à se souvenir de l’initiative de Genève
En 2003, des membres des sociétés civiles israéliennes et palestiniennes signaient, sous le parrainage de la Suisse, un accord qui se voulait un plan détaillé pour mettre fin au conflit au Proche-Orient: l’Initiative de Genève. Ce mardi, la ministre des Affaires étrangères, Micheline Calmy-Rey, présidera une conférence à l’Université de Genève qui tentera d’en faire le bilan. Sur le terrain, des responsables israéliens et palestiniens continuent à faire vivre cette proposition de plan de paix, mais la population n’en garde pas toujours un souvenir très précis. Par la correspondante de la RSR à Tel-Aviv, Aude Marcovitch.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière*
- Le Journal de 6hPrésenté par Frédéric Filippin.
- La revue de presse romandePar Jean-François Moulin.
- Dring Dring, l’entreprise qui livre les courses à vélo*
- Les Frères musulmans libyens annoncent ne pas vouloir former un parti politiqueCette confrérie religieuse vient d’annoncer que - contrairement aux islamistes en Tunisie et en Egypte - les Frères musulmans de Libye ne comptent pas pour l’instant former un parti politique, mais encouragent leurs membres à participer à la vie politique. Par Michel Kocher.
- Presse alémaniquePar Stéphane Deleury.
- Economie de fonctionnalité ou quand la location devient économique*
- Maurane, les références musicales du jour*
- Le Journal de 7hPrésenté par Dominique Choffat.
- Les Israéliens et les Palestiniens peinent à se souvenir de l’initiative de GenèveEn 2003, des membres des sociétés civiles israéliennes et palestiniennes signaient, sous le parrainage de la Suisse, un accord qui se voulait un plan détaillé pour mettre fin au conflit au Proche-Orient: l’Initiative de Genève. Ce mardi, la ministre des Affaires étrangères, Micheline Calmy-Rey, présidera une conférence à l’Université de Genève qui tentera d’en faire le bilan. Sur le terrain, des responsables israéliens et palestiniens continuent à faire vivre cette proposition de plan de paix, mais la population n’en garde pas toujours un souvenir très précis. Par la correspondante de la RSR à Tel-Aviv, Aude Marcovitch.
- Simonetta Sommaruga en Roumanie pour lutter contre la traite des êtres humainsLa cheffe du département de Justice et police (DFJP) Simonetta Sommaruga est actuellement en Roumanie pour essayer de trouver une solution au drame de la traite des êtres humains. La plupart des victimes de ce fléau en Suisse viennent précisément de Roumanie. Notre envoyé spécial Vincent Bourquin a rencontré Simonetta Sommaruga dans un restaurant très populaire du vieux Bucarest. Pour elle, il est fondamental de sensibiliser la population suisse au drame de la traite des êtres humains qui fait plus de 200'000 victimes en Europe. Son interview.
- Les incohérences du droit de la famille en Suisse*
- Les agences de notation sont des boucs émissaires trop commodesUn commentaire d’Urs Gfeller. Le débat continue sur http://signature.rsr.ch
- Pierre-Yves Maillard, candidat au Conseil fédéral*
- Le Journal de 8 heuresPrésenté par Valérie Droux.
- Les bourses européennes ont plongé ce lundiLes bourses européennes ont plongé ce lundi. Madrid a perdu 3,5%, Francfort et Paris plus de 3%, et si le SMI , l'indice suisse, a mieux résisté, il a tout de même chuté de 2,5%. Les bourses semblent avoir fortement réagi à l'avertissement lancé par Moody's sur la France, qui risque de se traduire par une prochaine dégradation de la note souveraine française. Est-ce la seule raison? L’analyse d’Hervé Sumi, directeur du Portfolio Management de la banque Vontobel.
- Dopage: la fin de l'hypocrisie?Le dopage dans le sport fait particulièrement débat ces derniers jours. Alberto Contador, contrôlé positif au clenbutérol sur le Tour de France cycliste 2010, est jugé cette semaine par le Tribunal arbitral du Sport (TAS). Yannick Noah, ancien tennisman français, a lancé un pavé dans la mare le week-end dernier. Dans une tribune, il laissait entendre que les sportifs espagnols faisaient plus facilement recours au dopage. Face à cette situation, l'ancien athlète appelait à cesser l'hypocrisie, et à accepter le dopage. Est-ce vraiment une solution? Débat entre Marc Augsburger, responsable opérationnel de l'unité de toxicologie et de chimie forensique au Centre universitaire romand de médecine légale, et Michaël Perruchoud, écrivain, passionné de cyclisme, auteur de "Bartali sans ses clopes", paru aux éditions L'Âge d'Homme.
- Pascal Bernheim*