Le Journal du matin

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Présenté par Simon Corthay.

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Urgences saturées, praticiens non remplacés, délais de rendez-vous interminables: la pénurie de médecins gagne du terrain dans les régions dites "périphériques" en Suisse. Certains parlent même de "déserts médicaux". Dans les montagnes neuchâteloises, au Locle et à La Chaux-de-Fonds, le problème prend une tournure particulière pour ce qui est des pédiatres. Invité: Denis de la Reussille, syndic du Locle, POP.

Dans une prise de position commune, les communautés catholique, réformée et israélite du canton de Fribourg viennent de rejeter une motion populaire visant à rendre facultatif l’impôt ecclésiastique des personnes dites "morales". Par Gabrielle Desarzens.

Par Stéphane Deleury.

Est-il possible de s'aventurer sur les terres de Google? C'est le pari de PME romandes spécialisées dans la géocalisation. Elles aussi proposent de cartographier et de photographier la Suisse. Le concurrent est de taille, de même que les obstacles juridiques. Pourtant la géocalisation se présente comme une dimension du Web qui reste à explorer et à exploiter. Invité: Thierry Pilet, directeur de Geomatic Ingénierie.

The Moody Blues "Nights in white satin" The Rolling Stones "Jumpin' Jack Flash" Johnny Hallyday "Gabrielle"

Présenté par Dominique Choffat.

La Commission européenne doit dévoiler ce mardi un nouvel arsenal législatif pour encadrer les agences de notation, qui sont dans le collimateur de Bruxelles notamment. Leurs notes à la baisse desservent les économies qui ont besoin d'être soutenues, sans compter le poids que présente la menace d'un rabaissement ou encore la récente publication par erreur de la perte du triple A pour la France. Parmi les mesures envisagées, la suspension de la notation des pays sous aide internationale et la possibilité d'engager la responsabilité civile des agences. L'interview de Norbert Gaillard, docteur en économie, consultant pour la Banque mondiale et auteur de l'ouvrage "Les agences de notation", paru en 2010.

Chasse aux sorcières ou pardon? La Tunisie, 20 ans après les pays communistes de l’Est de l’Europe, se pose cette éternelle question après une dictature. Que faire des anciens membres de la police politique de Ben Ali? Qui juger? A quel niveau de hiérarchie? Et les archives de la police politique? Pendant deux jours à Tunis durant le colloque financé en partie par la Suisse et co-organisé par le Centre de Genève pour le contrôle démocratique des forces armées (DCAF), des ONG se sont interrogées sur ces dossiers brûlants. Les organisateurs avaient invité des Polonais, Roumains et ex-Allemands de l’Est qui sont déjà passés par là, il y a 20 ans. Interview d'Arnold Luethold, directeur des opérations Afrique et Moyen-Orient au DCAF.

La chaîne de télévision France 2 diffuse depuis lundi "Vestiaires", une nouvelle mini-série humoristique de deux minutes sur le handicap. Cela se passe justement dans le vestiaire d'une piscine de handisport.

Le terme n'est pas galvaudé, il est une légende vivante, très vivante même. Un des rares sportifs suisses dont le nom est connu à l'étranger: champion olympique de descente aux JO de Sapporo en 1972, champion du monde de descente à Val Gardena en 1970, entre autres titres. Actuellement conseiller technique à la Fédération internationale de ski (FIS), il est le plus réputé des "architectes" des pistes de descente, dont celle de Sotchi en Russie pour les JO 2014.

Présenté par Frédéric Filippin.

Lundi, les principales places financières ont bouclé dans le rouge, proche de l'équilibre. L'effet positif suscité par les nominations de Lucas Papademos en Grèce et Mario Monti en Italie n'aura duré que peu de temps. Interview de Jérôme Schupp, responsable de la recherche chez Syz and Co.

Cette idée fait son chemin à Neuchâtel et à Genève. La population de ces deux cantons se prononcera le 27 novembre 2011 à ce sujet. A deux semaines des votations, le Parti socialiste genevois a donné lundi ses derniers arguments lors d'une conférence de presse. Sur le plan national, une initiative similaire est sur le point d'aboutir. Pour les uns, c'est une façon de lutter contre le dumping salarial et les "workings poors"; pour les autres, les problèmes de fixations des salaires ne doivent pas être traités par la loi. Avec Jacques Robert, syndicaliste et ex-membre de la direction d'UNIA, et Blaise Matthey, secrétaire général de la Fédération des entreprises romandes.