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Les rebelles restent sur leurs gardes malgré la chute du régime. Dans la capitale Tripoli, libérée depuis plus d’une semaine, des miliciens en armes continuent de monter la garde. Parmi eux, Abdu Salam, une kalachnikov en bandoulière. Cet ingénieur pétrolier de 30 ans explique à notre envoyé spécial en Libye, Mehmet Gultas, pourquoi les rebelles gardent l’œil ouvert.
Le sommaire de l’émission
- Reportage en Libye: le pouvoir de nuisance de Kadhafi demeureLes rebelles restent sur leurs gardes malgré la chute du régime. Dans la capitale Tripoli, libérée depuis plus d’une semaine, des miliciens en armes continuent de monter la garde. Parmi eux, Abdu Salam, une kalachnikov en bandoulière. Cet ingénieur pétrolier de 30 ans explique à notre envoyé spécial en Libye, Mehmet Gultas, pourquoi les rebelles gardent l’œil ouvert.
- La tentation des heures supplémentaires sans compensationCertaines entreprises exportatrices romandes seraient-elles aussi tentées par la formule "travailler plus pour gagner la même chose". Ces entreprises, heurtées de plein fouet par l'appréciation rapide du franc, veulent demander à leurs employés de rallonger leur temps de travail tout en conservant le même salaire. Ce mouvement - initié par l'entreprise Lonza - et suivi par plusieurs groupes industriels suisse alémaniques, commence à prendre en suisse romande. Selon le syndicat UNIA, la question deviendrait brûlante dans une dizaine d'entreprises. Aldo Ferrari, membre du comité directeur.
- Nestlé mise sur la carte suisseCertaines grandes entreprises suisses continuent d'investir en Suisse, malgré la force du franc. Le groupe Nestlé a inauguré hier une nouvelle unité de production, à Konolfingen, dans le canton de Berne. 400 millions de francs investis sur ce site en quatre ans, avec à la clé, la création de 370 emplois. En 10 ans, le groupe a misé 3 milliards sur la Suisse. Cela représente 2'700 nouveaux postes de travail. Nestlé mise donc sur la carte nationale. L'interview du patron de la multinationale, Paul Bulke.
- Le franc se renforce encore malgré l'intervention de la BNSLe franc s'est considérablement raffermi jeudi. Alors qu'il s'échangeait 1 franc 19 pour 1 euro lundi, il s'est apprécié jusqu'à 1 franc 13 pour 1 euro hier. Pourtant, la Banque Nationale Suisse a libéré 50 milliards de francs en liquidités pendant la première quinzaine d'août pour affaiblir la monnaie helvétique. Les explications de Fabrizio Quirighetti, chef économiste à la Banque Syz.
- Wikileaks: la rumeur de la fuite est confirméeLes câbles diplomatiques de Wikileaks se trouvent sur Internet. La fuite a bel et bien eu lieu. Ce qui était encore une rumeur en début de semaine est désormais confirmé: le fichier contenant les 250'000 câbles diplomatique américains, est accessible sur la toile. Par Pierre Crevoisier.
- Hooliganisme: une table ronde sans résultatLa 10ème table ronde contre le hooliganisme qui s'est tenue hier à Berne n'a abouti à aucune mesure concrète. Le Conseiller fédéral Ueli Maurer, qui présidait cette réunion, renvoie la balle dans le camp des cantons et des clubs. Son interview.
- Le luxe dans la tourmente du francToujours plus de branches souffrent de la crise du change, notamment les PME exportatrices, ou encore le tourisme. Le luxe, longtemps épargné, commence lui aussi à en ressentir les effets, même si les prix de vente n'ont pas encore tendance à baisser dans le secteur. L'interview de Milan Prenosil, président de l'association des commerçants de la ville de Zürich, président du conseil d'administration de la confiserie Sprüngli.
- High-tech: les nouvelles tendances sont à BerlinL’une des plus grandes foires du monde dédiée aux high-techs s’ouvre vendredi à Berlin. Durant une semaine, l’IFA dictera les tendances à venir sur le marché de l’électronique grand public. 1400 exposants ont répondu présent. Et parmi les vedettes de cette édition 2011, les téléviseurs connectés, la 3D et les tablettes numériques. Raphaël Grand.
- Libye: la Suisse participera au temps de l'après-KadhafiLa communauté internationale était au chevet de la Libye à Paris: 63 pays se sont réunis pour poser les bases de l’après-Kadhafi. Lors d’une conférence de presse, le président Nicolas Sarkozy et le président du Conseil national de transition, Moustapha Abdeljalil ont appelé les Libyens à la réconciliation. 15 milliards de dollars des avoirs libyens gelés seront débloqués. La Suisse contribuera à ce déblocage. L'interview de Micheline Calmy-Rey, présidente de la Confédération.
- Fribourg: une peine avec sursis attendue pour le commissaire20 jours-amende avec sursis. C'est ce que risque le commissaire de police fribourgeois pour avoir circulé en état d'incapacité de conduire, en novembre 2008. Il est 4 heures du matin quand ce haut gradé rentre chez lui. Il heurte un trottoir. Une patrouille de police effectue un contrôle, puis le ramène à la maison. Les policiers sont dès lors soupçonnés d'avoir fermé les yeux. Le procureur général de Fribourg, Fabien Gasser, explique pourquoi il n'a pas retenu dans sa plaidoirie l'accusation de conduite en état d'ébriété.
- La Libye de l'après KadhafiLa communauté internationale était au chevet de la Libye à Paris: 63 pays se sont réunis pour poser les bases de l’après-Kadhafi. Lors d’une conférence de presse, le président Nicolas Sarkozy et le président du Conseil national de transition, Moustapha Abdeljalil ont appelé les Libyens à la réconciliation. 15 milliards de dollars des avoirs libyens gelés seront débloqués. Par Charline Vanhoenacker, correspondante de la RSR à Paris.