Cinéma: "Twilight" ou le vampire à l’eau de rose (3/5)
La saga "Twilight", dont le cinquième et dernier volet sort ce mercredi, mobilise des hordes d’adolescent-e-s. Robert Pattinson y incarne Edward Cullen, un vampire gentil très respectueux de sa vierge compagne, Bella (Kristen Stewart). Le sociologue Gianni Haver analyse cet engouement. Par Raphaële Bouchet.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière*
- Nathalie Stutzmann, artiste au plus profond de l'âmeNathalie Stutzmann est l'une des artistes les plus marquantes de notre époque, au rare timbre de contralto lyrique. Musicienne accomplie, elle dirige son ensemble "Orfeo 55", qu'elle a fondé en 2009.Elle est présente le dimanche 18 novembre 2012 à 18h au Casino de Montbenon à Lausanne, dans le cadre du 15 Festival Bach de Lausanne qui se déroule jusqu'au 26 novembre.
- Les actus culturelles du jourLes choix de Michel Masserey:
- Rothko plus cher que les Beatles
- Yoki, mort d’un poète de la lumière
- Alain Delon, dernière tournée?
- Stallone se la joue "indé"
- Djian rafle l’Interallié - Cinéma: les films dont on parle, débat des critiquesDébat critique entre Raphaële Bouchet, Rafael Wolf et Pascal Gavillet autour de plusieurs sorties de la semaine: - "Twilight. La Révélation 2", de Bill Condon - "Après Mai", d'Olivier Assayas - "La Chasse" (Jagten), de Thomas Vinterberg
- Cinéma: "Twilight" ou le vampire à l’eau de rose (3/5)La saga "Twilight", dont le cinquième et dernier volet sort ce mercredi, mobilise des hordes d’adolescent-e-s. Robert Pattinson y incarne Edward Cullen, un vampire gentil très respectueux de sa vierge compagne, Bella (Kristen Stewart). Le sociologue Gianni Haver analyse cet engouement. Par Raphaële Bouchet.
- Cafouillages et dysfonctionnements à la BBCDes journalistes dérapent; la direction tire sa révérence et les politiciens leurs marrons du feu... Le taux d'estime des Britanniques à l'égard de leur médias a chuté de 65 à 45 pour cent en quelques jours. Une chute aussi inédite que vertigineuse. Les journalistes sont montrés du doigt alors même que les erreurs trouvent leur origine dans les défaillances de l’encadrement.
Thierry Fischer s’entretient avec Jon Henley, chroniqueur du Guardian à Londres, ex-correspondant du Guardian à Paris.