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Les accords fiscaux signés avec l'Allemagne, la Grande-Bretagne et l'Autriche sont désormais tous les trois confiés au parlement pour ratification. En raison de la signature in extremis de l'Autriche, son accord figure dans un message séparé adopté jeudi. La Grande-Bretagne aurait partiellement repris les taux prévus avec l'Allemagne. L'analyse de Pascal Jeannerat, suivie de l'interview de Philippe Kenel, avocat-fiscaliste, président de la Chambre de commerce suisse pour la Belgique et le Luxembourg.
Le sommaire de l’émission
- Le langage codé à deux jours des présidentiellesLa campagne électorale pour la présidentielle française prend fin ce vendredi soir à minuit. Les candidats seront interdits de toute prise de parole dans les médias jusqu'à dimanche 20 h, heure de fermeture des bureaux de vote dans les grandes villes. Ce silence imposé comprend aussi sur le web et les réseaux sociaux. Par Yann Amedro.
- Les Verts changent de visageUeli Leuenberger a repris la direction du parti des Verts au printemps 2008, alors qu’ils s’approchaient des 10% aux élections fédérales de 2007. En 2011, ils ont baissé à 8.4%, passant de 22 à 15 sièges. Si en 2007 on les imaginait proche du Conseil fédéral au niveau mathématique, cela ne semble plus d’actualité. Avec son départ, Ueli Leuenberger laisse un parti plus mal en point, en tout cas au niveau mathématique, qu'à son arrivée. Sur le vif, Ueli Leuenberger, Isabelle Moret, conseillère nationale radicale vaudoise et Andreas Ladner, professeur et politologue à l'IDHEAP.
- Dernière parole du candidat BayrouIl était le "troisième homme" de la campagne présidentielle française en 2007: cette année pourtant François Bayrou est placé en cinquième position loin derrière François Hollande, Nicolas Sarkosy, Marine Le Pen et Jean-Luc Mélenchon. Le candidat centriste refuse de prendre en compte les sondages d'opinion: lors de son passage en France voisine, il a affirmé qu'une surprise est possible même au soir du premier tour, ce dimanche. Sur le vif, François Bayrou, suivi de Frédéric Dabi, Directeur du Département d'opinion publique à l'IFOP
- L'accord Suisse-Autriche ratifié "in extremis"Les accords fiscaux signés avec l'Allemagne, la Grande-Bretagne et l'Autriche sont désormais tous les trois confiés au parlement pour ratification. En raison de la signature in extremis de l'Autriche, son accord figure dans un message séparé adopté jeudi. La Grande-Bretagne aurait partiellement repris les taux prévus avec l'Allemagne. L'analyse de Pascal Jeannerat, suivie de l'interview de Philippe Kenel, avocat-fiscaliste, président de la Chambre de commerce suisse pour la Belgique et le Luxembourg.
- "Suisse et Union Européenne : la belle-famille"L'agence de presse belge "Europolitique" publie ce vendredi un numéro spécial consacré aux relations entre la Suisse et l'Union européenne. De nombreux contributeurs tentent de cerner les rapports difficiles entre "la Suisse, une petite Europe, en mieux" - titre de l'éditorial - et l'Union, qui entend remettre à plat les règles de vie commune. Fiscalité de l'épargne ou des entreprises, transports, libre-circulation, tous les thèmes sensibles sont abordés. Outre les contributions de Didier Burkhalter et d'Eveline Widmer-Schlump, ou encore du président de la Commission européenne, José Manuel Barroso, il y a aussi le portrait de Philippe Kenel, avocat-fiscaliste, président de la Chambre de commerce suisse pour la Belgique et le Luxembourg et instigateur de ce numéro spécial. Son interview.
- La haute technologie avant tout: et la "patate learning center"?A l'image du Rolex Learning Center de l'EPFL à Lausanne, Christian Blaser, agriculteur à Savigny dans le canton de vaud, voudrait créer un "Patate Learning Center". Sa chronique, publiée dans le 24 heures, plaide pour que le canton de Vaud n'oublie pas d'investir dans les infrastructures destinées à la formation des métiers de la terre, comme agriculteur, viticulteur, caviste ou arboriculteur. Selon lui, ces infrastructures souffrent de la comparaison avec le fameux Rolex Learning Center de l'EPFL. Sur le vif, Christian Blaser, suivi des interviews de Jean-François Steiert, membre de la commission de la science, de l'éducation et de la culture et de Jérôme Grosse porte-parole de l'EPFL.
- Franz Weber énerve même ses partisansFâchée que son initiative sur les résidences secondaires ne soit pas appliquée par les communes tout de suite après la votation populaire du 11 mars, l'association de Franz Weber fait à présent une opposition systématique à toute nouvelle construction dans les Alpes. De quoi irriter les opposants au texte évidemment, mais aussi certains partisans qui estiment que l'écologiste va trop loin. Sur le vif, Stéphane Rossini, conseiller national socialiste valaisan et Philippe Roch, partisan de l'initiative.