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L'UDC fait pression sur le Conseil fédéral pour l'application de l'initiative sur le renvoi des étrangers criminels. Le parti exige du gouvernement qu'il mette le projet de loi immédiatement en consultation. Il est aussi prêt à lancer une nouvelle initiative pour accélérer la mise en oeuvre. L'UDC estime "intolérable" que ce projet se fasse toujours attendre, alors que l'initiative a été acceptée par le peuple en novembre 2010. Le président du parti Toni Brunner et trois autres conseillers nationaux, Christoph Blocher (ZH), Adrian Amstutz (BE) et Yves Nidegger (GE), sont montés au créneau mardi devant la presse à Berne. Les explications d'Esther Coquoz, avec l'interview d'Yves Nydegger.
Le sommaire de l’émission
- Le procès Breivik: une tribune pour le tueur?Andre Breivik a pu s'exprimer pendant une heure ce mardi matin au cours de son procès. Il avait promis aux juges d'alléger sa rhétorique, mais la juge-présidente a dû l'interrompre plusieurs fois pour lui rappeler son engagement. L'auteur de la tuerie d'Oslo, qui a fait 77 morts le 22 juillet dernier, a tenu notamment des propos racistes. Le tribunal n'a pas autorisé la retransmission télévisée de sa déclaration, pour que l'accusé ne profite pas du procès comme d'une tribune. Les interviews de l’avocat Charles Poncet et de Hafid Ouadiri, directeur la Fondation de l'Entre-connaissance.
- Renvoi des étrangers criminels: l'UDC fait pressionL'UDC fait pression sur le Conseil fédéral pour l'application de l'initiative sur le renvoi des étrangers criminels. Le parti exige du gouvernement qu'il mette le projet de loi immédiatement en consultation. Il est aussi prêt à lancer une nouvelle initiative pour accélérer la mise en oeuvre. L'UDC estime "intolérable" que ce projet se fasse toujours attendre, alors que l'initiative a été acceptée par le peuple en novembre 2010. Le président du parti Toni Brunner et trois autres conseillers nationaux, Christoph Blocher (ZH), Adrian Amstutz (BE) et Yves Nidegger (GE), sont montés au créneau mardi devant la presse à Berne. Les explications d'Esther Coquoz, avec l'interview d'Yves Nydegger.
- Neuchâtel: haro sur Ory (débat)Gisèle Ory a-t-elle les compétences pour gérer l'hôpital neuchâtelois? Le parti libéral-radical en doute et demande qu'elle soit dessaisie du dossier pour que l'ensemble du Conseil d'Etat le reprenne en main. Après de nombreuses accroches survenues depuis la présentation d'un plan stratégique en décembre dernier, une récente fuite a mis le feu aux poudres. Les interviews de Baptiste Hurni, président du parti socialiste neuchâtelois et de Philippe Haeberli, député PLR, membre de la commission santé.
- Programme Paléo 2012: une lecture critiqueLe programme de la cuvée 2012 du Paléo Festival de Nyon a été annoncé officiellement. On connaît aussi celui du Festival de Montreux, que le Blick a fait paraître avant terme. Quoi de neuf sous le soleil des grands festivals lémaniques? Par Alain Croubalian.
- Payot plongé dans les difficultés financières et l'incertitudeLes employés des librairies Payot travailleront une heure supplémentaire par semaine, sans gagner davantage. Les partenaires ont accepté la mesure, en ce début de semaine, à condition que l'entreprise s'engage à ne procéder à aucun licenciement économique durant l'année. L'entreprise, propriété du groupe Lagardère Service, qui est à vendre, compte 240 collaborateurs, et doit faire face à de nombreuses difficultés: franc fort et concurrence du commerce en ligne international. Interview de Pascal Vandenberghe, directeur de Payot.
- La présidentielle française, vue par l'ancien conseiller fédéralPascal Couchepin s'exprime aujourd'hui dans sa chronique sur la campagne pour les élections présidentielles françaises. Il débat avec un jeune contradicteur, Benoît Gaillard, secrétaire général des socialistes lausannois et conseiller communal. Cette campagne déçoit Pascal Couchepin, dont il aborde les principaux thèmes.
- L'aura ternie du roi d'Espagne, débatL’Espagne en veut à son roi Juan Carlos, parti chasser l'éléphant à grands frais, tandis que son pays plonge dans l'austérité. Le roi à l'aura incontestée, qui a réconcilié les Espagnols et ramené la démocratie, a-t-il montré son vrai visage? L’interview de Stéphane Bern, connaisseur de la royauté. Il plaide en faveur de Juan Carlos ce soir, et de l’historienne Mari Carmen Rodriguez, fervente opposante à la royauté, amène un autre regard.