I have a dream

Pierrette Willemin, Ruth Pidoux et René Nicolet ont presque cent ans. Et durant une heure, ils nous parlent de leurs rêves d’enfance, c’était dans les années 20, de la vision qu’ils avaient à l’époque de l’avenir, de la guerre qui arrivait comme un cauchemar, de leurs rêves réalisés ensuite et de ceux qui ont été déçus ou abandonnés, et puis aujourd’hui de cette dernière caresse des rêves… et de la vie.Nouvelle diffusion de l'émission du 2 janvier 2013

Faites vos rêves, rien ne va plus… car si nous avons bien évidemment survécu à l’apocalypse maya, pas sûr que notre humanité se rende véritablement compte de ce qui est en train de se dérouler juste sous ses yeux. Selon des rapports de plus en plus nombreux, de plus en plus précis, de plus en plus accablants, la destruction de toute ou partie de notre humanité est programmée. Nouvelle diffusion de l'émission du 31 décembre 2012.

Quel est votre rêve le plus fou? Gagner à la loterie? Avoir une très grande famille ou au contraire tout quitter? Passer la nuit avec Shakira ou Brad Pitt? Voyager en orbite autour de la terre? Au Canada, la "Fondation de l’Institut universitaire en santé mentale de Québec", vient de lancer un projet qui consiste à permettre à des personnes atteintes dans leur santé de réaliser leur rêve de toujours.

"Si nous n’apprenons pas à vivre ensemble comme des frères et des sœurs, alors nous mourrons comme des imbéciles"…Cette petite phrase balancée par Martin Luther King quelques jours avant son assassinat en 1968, problématise bien les enjeux de la lutte non violente et de la réconciliation. Pas difficile non plus d’en vérifier la pertinence. Il suffit de se pencher sur les centaines de conflits aussi absurdes que meurtriers qui ont ensanglanté l’histoire de l’humanité depuis pas mal de millénaires déjà.

Pierrette Willemin, Ruth Pidoux et René Nicolet ont presque cent ans. Et durant une heure, ils nous parlent de leurs rêves d’enfance, c’était dans les années 20, de la vision qu’ils avaient à l’époque de l’avenir, de la guerre qui arrivait comme un cauchemar, de leurs rêves réalisés ensuite et de ceux qui ont été déçus ou abandonnés, et puis aujourd’hui de cette dernière caresse des rêves… et de la vie.

Detroit est une ville paradoxale où chaque parcelle de ce territoire sinistré porte encore l'histoire glorieuse de la révolution industrielle, le triomphe de l'automobile américaine et l'essor d'une classe moyenne qui rêvait de confort. Près d'un siècle après que les premiers boulons d'une Ford ou d'une Chevrolet ont été serrés dans cette cité, elle sombre dans un déclin que rien ne semble pouvoir ralentir. Detroit a perdu la moitié de sa population en trente ans. La mairie peine à maintenir des services de base. Mais on croit encore, entre ces murs vides, en une renaissance possible.