L'ancien patron d'UBS et du Crédit Suisse Oswald Grübel a lancé un pavé dans la mare il y a quelques jours en critiquant la stratégie de l’argent propre du Conseil fédéral et les accords fiscaux. Il évoquait, "avec cette mauvaise politique", un rétrécissement de la place financière helvétique qui pourrait potentiellement supprimer vingt mille emplois. Bernard Droux, président de la Fondation Genève Place Financière et associé-gérant à la banque privée Lombard Odier, revient sur ces déclarations pour évoquer la part de vérité et d’alarmisme.
"La place financière doit se réinventer" (Bernard Droux, Président fondation Genève place financière)
Publié Modifié