Le temps est aux interrogations après l’annonce de la fermeture de Merck Serono à Genève. Le secteur des bio-tech est-il plus fragile que prévu? Faut-il craindre de voir l’arc lémanique, et la Suisse plus généralement, perdre des emplois dans la recherche et le développement? La Suisse est-elle bien préparée à la concurrence de régions comme Boston ou Shanghai, particulièrement dynamiques dans ce secteur?
"Ne nous décourageons pas" (Patrick Aebischer, Président de l'EPFL)
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