"A comme Anaïs" au Théâtre le Poche
Joie de l'écriture sans relâche, joie de l'amour sans tabou. "A comme Anaïs", la nouvelle création de Françoise Courvoisier, directrice du Poche, s’inspire de la correspondance entre Anaïs Nin et Henry Miller au moment où les amants-écrivains se rencontrent, à Paris, en 1932. Avec Olivia Csiky-Trnka et Frédéric Landenberg.
La critique de Marie-Pierre Genecand.
La critique de Marie-Pierre Genecand.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- "A comme Anaïs" au Théâtre le PocheJoie de l'écriture sans relâche, joie de l'amour sans tabou. "A comme Anaïs", la nouvelle création de Françoise Courvoisier, directrice du Poche, s’inspire de la correspondance entre Anaïs Nin et Henry Miller au moment où les amants-écrivains se rencontrent, à Paris, en 1932. Avec Olivia Csiky-Trnka et Frédéric Landenberg.
La critique de Marie-Pierre Genecand. - "Archaeotourism, archéologie et tourisme en Suisse"Cet ouvrage met en lumière les défis et les opportunités d'une meilleure mise en valeur touristique des atouts archéologiques dans notre pays. Soutenu par l'Office fédéral de la culture, il répond à une demande des milieux du tourisme et vise à encourager les archéologues à une meilleure prise en compte des besoins du public dans la valorisation du patrimoine.
Rencontre avec Marc-Antoine Kaeser, directeur du Laténium, Neuchâtel, et auteur de la publication. - Marie-Claude Chappuis et la chauve-souris"La Chauve-Souris", opérette en trois actes de Johann Strauss Fils, roi de la valse, père du Beau Danube bleu, est à l’affiche du Grand Théâtre de Genève, en cette fin d’année 2013.
L’occasion de rencontrer l’exquise mezzo-soprano Marie-Claude Chappuis, qui incarne le Prince Orlovsky, et se confie à Isabelle Carceles. - "Suzanne" de Katell QuillévéréLauréate du Prix Jean-Vigo en 2010 pour "Un Poison violent", son premier long métrage, Katell Quillévéré confirme son talent avec "Suzanne", ambitieuse chronique familiale qui suit la fragile Suzanne (Sara Forestier) sur plus de vingt ans.
La réalisatrice est au micro de Raphaële Bouchet. - Vies de Ramuz, l’écrivain vaudois par l’image (3/5)Ramuz topographe.
On parle de la langue-geste de Ramuz, attentive dans son oralité à dégager avec les mots et dans une syntaxe singulière des blocs sonores. On peut aussi souligner une préoccupation constante du terrain, des vignes du Lavaux ou de la Côte à la montagne. Plus soucieux de géographie que d’histoire, l’écrivain s’est projeté et a situé ses personnages dans des lieux révélateurs, soit d’une domestication viticole proche de l’écriture, soit d’un milieu alpin indomptable, propice aux destinées tragiques.
En feuilletant l’album "Vies de Ramuz" avec Daniel Maggetti et Stéphane Pétermann, directeur et responsable de recherche au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’Université de Lausanne par Christian Ciocca (29 novembre 2013, Dorigny)
Par Jean-Philippe Zwahlen et Christian Ciocca