Au bazar, avec Burcu, un brin neuchâteloise
J’attends Burcu Aksakar au coin de la place Konak à Izmir. Une immense place piétonne, à l’entrée du bazar. Burcu, que je connais pas mais qui a une voix fraîche et piquante, comme les petites prunes vertes posées sur la carriole du marchand ambulant. Une voix claire, comme l’eau glacée vendue par l’autre marchand. Et non, je ne la comparerai pas aux moules farcies vendues par le troisième… trop risqué, la comparaison comme la dégustation des moules entre couche de glaçon et soleil de plomb.