Le Journal du matin
Le Forum international sur le rôle de la coopération au développement s'est ouvert jeudi matin à Montreux: 140 responsables de gouvernements, d'ONG ou du secteur privé vont plancher durant deux jours sur l'évolution de cette aide. La rencontre est organisée par la DDC - la direction du développement et de la coopération - et le Département des affaires économiques et sociales de l'ONU. Par Arianne Hasler.
Le sommaire de l’émission
- L'aide au développement doit se repenserLe Forum international sur le rôle de la coopération au développement s'est ouvert jeudi matin à Montreux: 140 responsables de gouvernements, d'ONG ou du secteur privé vont plancher durant deux jours sur l'évolution de cette aide. La rencontre est organisée par la DDC - la direction du développement et de la coopération - et le Département des affaires économiques et sociales de l'ONU. Par Arianne Hasler.
- Journal de 06h00Présenté par Simon Corthay.
- Menace d'une pénurie de médecins dans plusieurs régions de SuisseLa menace d'une pénurie de médecins en Suisse devient réalité dans plusieurs régions, notamment périphériques. Dans le canton de Neuchâtel, la moitié des médecins qui partent à la retraite ne seront vraisemblablement pas remplacés. Les causes sont multiples. Mais en attendant, des solutions existent pour appâter les jeunes assistants. Le reportage de Célestine Perissinotto. Invité: Dr Pierre-François Cuénoud, vice-président de la Fédération des médecins suisses (FMH).
- Saint-Nicolas accusé de racisme aux Pays-BasAux Pays-Bas, un débat nourri s’est ouvert à propos de Saint-Nicolas, personnage très populaire en Hollande, comme en Suisse d'ailleurs. Il n’aurait pas le droit d’avoir à ses côtés son Père Fouettard. Par Bernard Litzler.
- Le rôle des parents, parfois trop omniprésentsTous les matins, "Sport matin" propose un décryptage pointu et en direct de toutes les actualités sportives. Ce vendredi: les parents de sportifs, de futurs champions, qui tiennent un rôle très important. Ils sont parfois trop omniprésents et cela peut être néfaste. Par Alain Thévoz.
- Un hublot au-dessus du cerveauInvité : Jocelyne Bloch, médecin adjoint au Service de neurochirurgie du CHUV.
- La pressePar Jean-François Moulin et Patrick Chaboudez.
- La gouvernance défaillante du parapublic genevoisSur le papier, les Conseils d'administration de milice pour les entités parapubliques, c'est pas mal. Des députés et autres élus sont intégrés au sein des Conseils et peuvent exercer de l'intérieur un pouvoir de contrôle et participer au pilotage stratégique de ces importantes entités parapubliques à Genève que sont les Services industriels, les Transports publics ou les Hôpitaux universitaires. Mais cela ne marche pas, et pour deux raisons. D'abord ces conseils sont pléthoriques, jusqu'à 23 membres ! De tous bords professionnels et politiques. Impossible dès lors de garantir la confidentialité nécessaire à une bonne gestion. La tentation de les court-circuiter est souvent forte. Surtout sur les sujets sensibles politiquement ou commercialement. On l'a vu par exemple dans le cas de l'abandon du projet de centrale à gaz au profit de l'achat de parts dans une société énergétique allemande, décidé en quelques heures directement par la direction et le conseil d'Etat, sans en référer au Conseil d'administration. Ensuite, au sein de ces Conseils, la responsabilité est totalement diluée. Les membres sont au courant de beaucoup de choses, mais ne sont jamais tenus pour responsables de ce qui pourrait dysfonctionner. On voit ainsi certains députés dénoncer des errances, les exploiter politiquement même, sans jamais devoir en assumer la moindre part de responsabilité. Le drame de la Pâquerette et la tempête éolienne qui agitent la république l'illustrent. Car c'est bien cette responsabilité qui doit sous-tendre l'activité d'un administrateur. Pour que le système fonctionne, il faut réformer la gouvernance des entités parapubliques. Une tentative avait échoué devant le peuple en 2008. Il faut y revenir, en prévoyant cette fois-ci des mesures pour compenser les pertes de revenus que cela supposera aux partis politiques, largement financés aujourd'hui par ces multiples mandats. C'est le prix à payer pour la gouvernance efficace dont Genève a besoin. Pascal Jeannerat
- Jean-Pierre Darroussin, les références musicales du jour"I stand by you" , The Pretenders "Entre mes mains", Johnny Hallyday "I’m going home", Ten Years After
- Journal de 07hPrésenté par Valérie Droux.
- Initiative 1:12: qui sont les meilleurs sur les réseaux sociaux?Jamais une campagne de votation fédérale n'a été aussi présente sur les réseaux sociaux que celle de l'initiative 1:12. Ce sont les initiants qui y ont lancé la première salve au début de l'été et cela fait bientôt quatre mois que pro et anti s'y affrontent à coup de tweets et de statuts Facebook. Par Magali Philip.
- Le Front National et le Grand Genève"Frontaliers assez !": les affiches électorales du Mouvement Citoyens Genevois (MCG) ont fleuri ces derniers mois dans les rues de Genève. De quoi fâcher peut-être les 50'000 citoyens français qui travaillent à Genève. Mais qu'en pense la droite dure de l'autre côté de la frontière? Dominique Martin, ancien directeur de campagne de Jean-Marie Le Pen, est municipal à Cluses, à 30 minutes de la Suisse, et il connaît bien la problématique transfrontalière puisque c'est à Genève, justement, qu'il a préparé son bac. Son interview.
- L'héritage très disputé d'AstérixCe vendredi, Passé Présent revient sur l'héritage très disputé d'Astérix, dont le dernier album vient de sortir. L'irréductible Gaulois fait l'objet d'une bataille judiciaire. Un peu comme Tintin, souvent cité dans les tribunaux. Par Pierre Bavaud.
- Aldo Ferrari, membre du comité directeur d'UNIAL'extension de la libre circulation à la Croatie sera à l'ordre du jour de l'assemblée des délégués socialistes qui se réunissent samedi en Argovie. La présidence du parti veut un paquet de mesures d'accompagnement à la libre circulation. Condition "sine qua non" pour dire oui à l'extension à la libre circulation à la Croatie et pour que le PS s'implique dans la campagne. Cette attitude politique qualifiée de chantage, notamment au sein de la droite patronale, n'enthousiasme pas l'ensemble du monde syndical, dont Aldo Ferrari fait partie, comme membre du comité directeur d'UNIA.
- Légère hausse pour les marchés européensJeudi, les principales places financières européennes ont fini la journée sur une petite hausse. Pourtant, les invesstisseurs se focalisent sur les résultats des entreprises, et ce n'est pas un bon trimestre! Invité: Jérôme Schupp, responsable de la recherche chez Syz and Co.
- Journal de 08h00Présenté par Coralie Claude.
- Des bourses étudiantes financées par le privé: sacrilège?