"La main qui ment"
Philippe Sireuil, metteur en scène belge très actif sur nos scènes, sait parler de la guerre dans tout ce qu'elle laisse de blessures à jamais ouvertes. Dans "La main qui ment", de Jean-Marie Piemme, il pose la triple question de la justice, de la vengeance et du pardon lorsque tout est fait pour camoufler les lésions. A voir au Théâtre du Grütli, à Genève, du 19 février au 3 mars 2013 puis au Théâtre de l’Alambic, à Martigny, du 6 au 8 mars. Par Marie-Pierre Genecand.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- "La main qui ment"Philippe Sireuil, metteur en scène belge très actif sur nos scènes, sait parler de la guerre dans tout ce qu'elle laisse de blessures à jamais ouvertes. Dans "La main qui ment", de Jean-Marie Piemme, il pose la triple question de la justice, de la vengeance et du pardon lorsque tout est fait pour camoufler les lésions. A voir au Théâtre du Grütli, à Genève, du 19 février au 3 mars 2013 puis au Théâtre de l’Alambic, à Martigny, du 6 au 8 mars. Par Marie-Pierre Genecand.
- Exposition "Cartographies imaginaires"Rencontre avec Chantal de Schoulepnikoff, directrice honoraire du Musée national suisse du Château de Prangins à propos de l’exposition "Cartographies imaginaires" qui présente les oeuvres de Jean-Louis Choffel et Marie-Claire Meier, à découvrir à la Fondation de l’Estrée à Ropraz jusqu’au 1er avril 2013.
- "Les Invisibles" de Sébastien LifshitzA l’heure où la France s’écharpe à propos du mariage pour tous, "Les Invisibles", de Sébastien Lifshitz, est un film éclairant. Le cinéaste a rencontré une dizaine de lesbiennes et gays, qui ont tous, aujourd’hui, plus de 80 ans. Ils racontent, non sans humour, comment ils ont vécu leurs passions amoureuses envers et contre tout… Un document historique passionnant. Par Raphaële Bouchet.
- "In love with Federer"Comment nommer cet objet théâtral non identifié? "Une ode ! Une histoire d’amour!", répondent en chœur Denis Maillefer et Bastien Semenzato. Entourés d’écrans diffusant les victoires du héros, de LEUR héros, les comédiens content ses exploits, les émotions et les souvenirs liés à ses matches. Mais au final, ce n’est plus le tennisman qu’ils dépeignent, mais leur propre intimité de fan et de mortel. Un double masculin qui a fait vibrer la fibre sportive et théâtrale de Thierry Sartoretti.
A découvrir à Genève, Théâtre de Poche, jusqu’au 10 mars 2013. Et en tournée à Thonon (12 mars), Annemasse (4 avril), Sierre (du 16 au 18 mai) et Lausanne (du 22 au 26 mai). - Hans Erni, trésor national vivantOmniprésence d’un artiste tout-terrain