"La Vie d’Adèle" d’Abdellatif Kechiche
Triple Palme d’or au Festival de Cannes 2013, le 5e film d’Abdellatif Kechiche, "La Vie d’Adèle", sort ce mercredi 9 octobre en salles. Film attendu s’il en est, puisqu’il a été précédé d’une vaste polémique, certains techniciens et les deux actrices Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux s’étant plaints des conditions de tournage difficiles imposées par le "tyran" Kechiche. Le film, pourtant, est un chef-d’œuvre, selon Raphaële Bouchet, qui a rencontré Abdellatif Kechiche et Adèle Exarchopoulos.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- "La Vie d’Adèle" d’Abdellatif KechicheTriple Palme d’or au Festival de Cannes 2013, le 5e film d’Abdellatif Kechiche, "La Vie d’Adèle", sort ce mercredi 9 octobre en salles. Film attendu s’il en est, puisqu’il a été précédé d’une vaste polémique, certains techniciens et les deux actrices Adèle Exarchopoulos et Léa Seydoux s’étant plaints des conditions de tournage difficiles imposées par le "tyran" Kechiche. Le film, pourtant, est un chef-d’œuvre, selon Raphaële Bouchet, qui a rencontré Abdellatif Kechiche et Adèle Exarchopoulos.
- Franklin ChowFranklin Chow est un artiste chinois originaire de Shanghai. Habitant aujourd’hui la région de La Côte vaudoise, travaillant dans son atelier de Ste-Croix dans le Jura, Franklin Chow pratique une peinture informelle aux couleurs minérales, où le geste inspiré de la calligraphie chinoise se greffe aux pratiques artistiques de la tradition et de la modernité occidentales. Rencontre avec l’artiste.
- Alain Weber revisite l’imaginaire alpin"Le grand tour", c'est le nom d'un album réalisé par Alain Weber. Ce musicien et spécialiste d'art contemporain propose une évocation en musique de la Suisse romantique, telle qu'elle était fantasmée par les artistes romantiques anglais.
Michel Masserey a rencontré Alain Weber. - Jean Cocteau, des liens étroits avec la Suisse (3/5)La fête foraine des modernistes.
Cocteau dès les années 1910 s’est senti proche de tous les courants avant-gardistes : cubisme, dadaïsme, les Ballets russes, etc. avant de revenir au classicisme en réaction à tous ses déchaînements créatifs. Mais un art, des plus populaires, réunissait les novateurs comme les traditionnalistes : la fête foraine dont Cocteau se servit dans un poème lu par Jean Marais.
"Théâtre de poche" lu par Jean Marais à l’invitation d’Antoine Livio pour les vingt cinq ans de la mort de Cocteau ("Turbulences", RSR II, 08.10.1983).
Par Bruno Séribat et Christian Ciocca.