Le Rêve à Venise de Richard Wagner 1/5
C’est à un voyage merveilleux que nous vous convions cette semaine. Visitez d’abord la galerie de photographies qu’Isabelle Watson vous propose, et vous comprendrez immédiatement à quel point les instants vénitiens que nous partageons dans Musique en mémoire sont précieux.
Car c’est bien le rêve de Wagner lui-même, que nous contemplons dans la Sérénissime, en cette année anniversaire. Le compositeur y a séjourné à plusieurs reprises, et c’est bien là qu’il a composé la substance essentielle de son Tristan, avant d’y passer son ultime hiver, rendant son dernier souffle au premier étage du Palais Vendramin.
C’est au pianoforte personnel de Wagner lui-même que notre complice Bertrand Roulet jouera les pages décisives que Wagner a composées là, dans ce salon, où nous campons cette semaine. La Doctoressa Pugliese nous y reçoit et nous fait visiter. Mais c’est à une visite intime, intérieure, que Bertrand Roulet nous invite. Nous nous rendons aussi dans le palais que les Wagner ont loué quelques décennies auparavant. Un lieu secret, dont les propriétaires nous ouvrent les portes, en toute exception. Mais c’est bien sûr la Venise elle-même, qui fait résonner les musiques de Wagner. De promenades en rêveries, des endroits les plus touristiques aux canaux les plus déserts, la musique de Richard semble naître de ce lieu où l’on ne sait plus complètement ce qui est nature, ce qui est culture…
Vous nous accompagnerez au pied du Rialto, dans les cafés qu’il a fréquentés, piazzetta sur l’ouverture de la lagune, jardins privés, courettes intérieures, entre vie et silence, appels mystérieux de gondoliers sous la lune. Sa musique sur son piano, grâce à Bertrand Roulet, mais aussi évocations, lectures, le regard photographique d’Isabelle Watson, l’écoute de notre réalisateur Gérald Hiestand, qui faisait bien sûr partie du voyage. Oui, c’est bien ensemble, avec vous, que nous vivons le Rêve à Venise de Richard Wagner.
Une série de cinq émissions proposée par Bertrand Roulet
Prise de son et réalisation Gérald Hiestand
Assistance de production Isabelle Watson
Car c’est bien le rêve de Wagner lui-même, que nous contemplons dans la Sérénissime, en cette année anniversaire. Le compositeur y a séjourné à plusieurs reprises, et c’est bien là qu’il a composé la substance essentielle de son Tristan, avant d’y passer son ultime hiver, rendant son dernier souffle au premier étage du Palais Vendramin.
C’est au pianoforte personnel de Wagner lui-même que notre complice Bertrand Roulet jouera les pages décisives que Wagner a composées là, dans ce salon, où nous campons cette semaine. La Doctoressa Pugliese nous y reçoit et nous fait visiter. Mais c’est à une visite intime, intérieure, que Bertrand Roulet nous invite. Nous nous rendons aussi dans le palais que les Wagner ont loué quelques décennies auparavant. Un lieu secret, dont les propriétaires nous ouvrent les portes, en toute exception. Mais c’est bien sûr la Venise elle-même, qui fait résonner les musiques de Wagner. De promenades en rêveries, des endroits les plus touristiques aux canaux les plus déserts, la musique de Richard semble naître de ce lieu où l’on ne sait plus complètement ce qui est nature, ce qui est culture…
Vous nous accompagnerez au pied du Rialto, dans les cafés qu’il a fréquentés, piazzetta sur l’ouverture de la lagune, jardins privés, courettes intérieures, entre vie et silence, appels mystérieux de gondoliers sous la lune. Sa musique sur son piano, grâce à Bertrand Roulet, mais aussi évocations, lectures, le regard photographique d’Isabelle Watson, l’écoute de notre réalisateur Gérald Hiestand, qui faisait bien sûr partie du voyage. Oui, c’est bien ensemble, avec vous, que nous vivons le Rêve à Venise de Richard Wagner.
Une série de cinq émissions proposée par Bertrand Roulet
Prise de son et réalisation Gérald Hiestand
Assistance de production Isabelle Watson