Selfie: "Je m’aime, moi non plus"
Le "selfie" de Barack Obama, pris par la première ministre danoise Helle Thorning-Schmidt lors de la cérémonie d’hommage à Nelson Mandela a fait le tour des réseaux sociaux et a déclenché une véritable tempête médiatique. On traite ces instantanés de la vie quotidienne de geste narcissique. C’est faux. Ils représentent tout simplement le récit de la société actuelle qui utilise une nouvelle culture visuelle.
Décryptage de Miruna Coca-Cozma
Décryptage de Miruna Coca-Cozma
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Selfie: "Je m’aime, moi non plus"Le "selfie" de Barack Obama, pris par la première ministre danoise Helle Thorning-Schmidt lors de la cérémonie d’hommage à Nelson Mandela a fait le tour des réseaux sociaux et a déclenché une véritable tempête médiatique. On traite ces instantanés de la vie quotidienne de geste narcissique. C’est faux. Ils représentent tout simplement le récit de la société actuelle qui utilise une nouvelle culture visuelle.
Décryptage de Miruna Coca-Cozma - "Il Maestro Paganini", par Michel Cardinaux aux éditions RapsodiaPédagogue passionné, Michel Cardinaux fonde et dirige l'association Rapsodia destinée à promouvoir la musique classique auprès de la jeunesse, par le biais de spectacles et d'animations théâtrales, mais aussi par l'écriture d'ouvrages didactiques et la disposition de ces ouvrages auprès des bibliothèques et institutions scolaires.
Rencontre avec Michel Cardinaux. - Cultures enfantinesLes enquêtes sociologiques et anthropologiques s'intéressent souvent à l'enfance comme construction sociale; rares sont celles qui explorent ses mondes spécifiques. Les cultures enfantines sont au cœur de deux ouvrages collectifs récemment parus: "L'enfant et ses cultures"(éditions Diplomatie française) et "Enfances. Pratiques, croyances et inventions" (CNRS éditions).
Une chronique de Nicole Duparc - Pour le meilleur et pour le pireRaconter le couple avec des acrobaties, une Simca et un chien? Le cirque Aïtal le fait sous chapiteau et le duo contrasté entre le géant Victor et la menue Kati est aussi drôle que fulgurant de poésie.
Les enfants retiennent un magnifique numéro de cirque. Et les adultes devinent entre les sauts périlleux le tango d’une histoire d’amour passion. Thierry Sartoretti en frissonne encore. - Vies de Ramuz, l’écrivain vaudois par l’image (2/5)Ramuz, dandy rustique.
Fils d’un épicier en denrées coloniales ayant prospéré à Lausanne, C.F. n’en a pas moins suivi une carrière artistique, inconcevable dans son milieu d’origine, la petite-bourgeoisie vaudoise. De cette tension est née une figure altière, un dandy rustique, travailleur acharné de la langue, solitaire au bureau mais très entouré d’amis peintres, écrivains, éditeurs, journalistes et musiciens et apprécié d’un large public en suisse et en Europe, et même en France malgré de fortes réticences.
En feuilletant l’album "Vies de Ramuz" avec Daniel Maggetti et Stéphane Pétermann, directeur et responsable de recherche au Centre de recherches sur les lettres romandes de l’Université de Lausanne par Christian Ciocca (29 novembre 2013, Dorigny)
Par Jean-Philippe Zwahlen et Christian Ciocca