On en parle
+12, 1 %: le chiffre d’affaire du marché bio en Suisse a connu en 2013 une très forte croissance. Or, comme l'offre ne parvient pas à suivre la demande très forte de produits bio, des maraîchers utilisent des plants et des semences issus de l’agriculture conventionnelles pour produire des fruits et légumes estampillés bio. La démarche est parfaitement légale: il suffit de demander une dérogation au FIBL, l’Institut de recherche de l’agriculture biologique, en Argovie. Directrice adjointe du FIBL, Dominique Barjolle répond aux interrogations de Christophe Canut.
Le sommaire de l’émission
- Les contrats-venteRecevoir un appel de télémarketing alors que l’on a pris soin de mettre un astérisque à côté de son numéro de téléphone dans l’annuaire, c’est ennuyeux. Mais lorsque par-dessus tout, on reçoit un produit que l’on ne souhaite pas, cela devient plus que dérangeant! C'est la mésaventure survenue à l'une de nos auditrices, qui a accepté sans le vouloir le contrat d'une société de vente de livres par correspondance. Pour s'en défaire, la société lui demande 35.- de frais. Juriste et responsable de la Permanence de la Fédération romande des consommateurs, Valérie Muster fait le point sur la légalité de ces procédés. Elle est au micro de Frédérique Volery.
- Des produits bio issus de semences conventionnelles+12, 1 %: le chiffre d’affaire du marché bio en Suisse a connu en 2013 une très forte croissance. Or, comme l'offre ne parvient pas à suivre la demande très forte de produits bio, des maraîchers utilisent des plants et des semences issus de l’agriculture conventionnelles pour produire des fruits et légumes estampillés bio. La démarche est parfaitement légale: il suffit de demander une dérogation au FIBL, l’Institut de recherche de l’agriculture biologique, en Argovie. Directrice adjointe du FIBL, Dominique Barjolle répond aux interrogations de Christophe Canut.
- Jusqu'à ébullition: soupe de fraises au vieux BordeauxAntoine Droux se trouve dans la cuisine de Didier Sidot, chef du restaurant d’application "Au goût du jour", à Lausanne. Didier Sidot est également membre du comité suisse des "Disciples d’Escoffier", cette association pour la transmission et l’évolution de la cuisine, née en 1954, 19 ans après la mort d’Auguste Escoffier, le "roi des cuisiniers". Le chef nous livre aujourd’hui sa recette de la soupe de fraise… une technique tout à fait originale.
- Deuxième serviceYves-Alain Cornu revient sur les sujets de l'émission qui ont suscité vos remarques, questions et commentaires. Au programme: les nuisances sonores - les chariots de course - l'astroturfing - la fête des voisins - un mois sans déchets.