Johnny sur Instagram - le flou artistique des réseaux sociaux
La chronique "Sonar" sur RTS-La Première qui analysait les déplacements du couple Johnny et Laeticia Hallyday, grâce aux publications de photos géolocalisées et datées sur les réseaux sociaux, a déclanché beaucoup de réactions médiatiques et politiques en France. La chroniqueuse de Sonar, Magali Philip, révélait que le couple passait en fait peu de temps à Gstaad, situation incompatible avec le forfait fiscal dont le couple bénéficie depuis 2006. Suite à cette affaire, Johnny a dû s’exprimer publiquement et clarifier sa situation fiscale. Cet épisode démontre la relation complexe et souvent ambiguë que nous entretenons avec les réseaux sociaux. Entre envie de visibilité et peur d’être espionnés.
Avec Magali Philip, chroniqueuse dans "Sonar" et Erwan le Nagard, spécialiste des réseaux sociaux et intervenant au CELSA à Paris-Sorbonne.
Une chronique de Miruna Coca-Cozma.
Avec Magali Philip, chroniqueuse dans "Sonar" et Erwan le Nagard, spécialiste des réseaux sociaux et intervenant au CELSA à Paris-Sorbonne.
Une chronique de Miruna Coca-Cozma.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Hommage à Claudio AbbadoClaudio Abbado est décédé ce lundi 20 janvier 2014 à Bologne, dans le nord de l’Italie, âgé de 80 ans. Il était encore présent au dernier Festival de Lucerne, et avait prévu d’y diriger encore 6 concerts en 2014.
Alain Pâris, chef d’orchestre, rend hommage à son confrère au téléphone de Francesco Biamonte. - Rencontre avec le conteur Pie TshibandaLe conteur Pie Tshibanda, auteur congolais, reconnu, marié, père de six enfants, témoin gênant et menacé de mort débarque, en 1995, un matin d’hiver à l’aéroport de Bruxelles. Dès la première fouille, il comprend qu’il est seul, qu’il est noir, qu’il a perdu la respectabilité et surtout sa présomption d’innocence. Comme des dizaines d’autres, il entreprend le véritable parcours du combattant du candidat réfugié politique au travers des administrations belges. Un parcours qui durera des années. D’autres encore avant qu’on lui octroie le droit de faire venir du Congo sa femme et ses enfants. Et d’autres, enfin, pour que nous lui ouvrions vraiment les portes de notre société.
C'est l'association Aravoh qui le fait venir, ceci depuis quatre ans, chaque mois de janvier. Ses spectacles l'ont amené dans tous les pays francophones de la planète, il ne se lasse pas d'appeler au dialogue, à la rencontre de l'autre, au respect de la différence. Le spectacle est en tournée en Suisse romande du 15 janvier au 3 février 2014.
Rencontre avec le conteur. - Graffitis sous haute surveillanceAprès un premier ouvrage consacré à la clinique de l'écriture, l'historien Philippe Artières s'intéresse à l'écriture délinquante et à la mise en place d'un savoir policier de l'écrit.
Dans "La police de l'écriture. L'invention de la délinquance graphique 1852-1945" (La Découverte), il montre comment l'alphabétisation donne naissance au 19ème siècle à un écrit populaire considéré comme potentiellement subversif par le pouvoir. La reconquête urbaine passera par la patrimonalisation de la cité et la constitution d'une expertise policière qui donnera naissance à la criminologie.
Par Nicole Duparc. - Johnny sur Instagram - le flou artistique des réseaux sociauxLa chronique "Sonar" sur RTS-La Première qui analysait les déplacements du couple Johnny et Laeticia Hallyday, grâce aux publications de photos géolocalisées et datées sur les réseaux sociaux, a déclanché beaucoup de réactions médiatiques et politiques en France. La chroniqueuse de Sonar, Magali Philip, révélait que le couple passait en fait peu de temps à Gstaad, situation incompatible avec le forfait fiscal dont le couple bénéficie depuis 2006. Suite à cette affaire, Johnny a dû s’exprimer publiquement et clarifier sa situation fiscale. Cet épisode démontre la relation complexe et souvent ambiguë que nous entretenons avec les réseaux sociaux. Entre envie de visibilité et peur d’être espionnés.
Avec Magali Philip, chroniqueuse dans "Sonar" et Erwan le Nagard, spécialiste des réseaux sociaux et intervenant au CELSA à Paris-Sorbonne.
Une chronique de Miruna Coca-Cozma. - Mézières, entre théâtre et général (2/5)Un blason en pomme de terre.
Parmi les résidents remarquables du village, le pasteur Martin se distingua dans les années 1790 en soutenant que la pomme de terre n’était pas une céréale et dès lors devait échapper au payement de la dîme. Leurs Excellences de Berne, maîtres du Pays de Vaud sous l’Ancien Régime, convoquèrent l’homme d’Église mézièrois avant d’en accepter la thèse. Et depuis 1914, le blason du village est coloré "d'azur à une plante de pomme de terre feuillée et fleurie au naturel, mouvant d'un mont à trois coupeaux de sinople et surmonté d'une étoile à six rais d'argent."
Mézières et son histoire par Pierre Lang ("Cartes de visite", Radio-Lausanne, 20 octobre 1962). "On joue à poil à Mézières" par Émile Gardaz et Michel Dénériaz ("Mardi les gars", RSR II, 14 octobre 1969)
Par Jérôme Nussbaum et Christian Ciocca