Les Eglises d’Europe évangélisent à nouveau (5/5)
Le bourgeonnement des "fresh expressions".
Depuis dix ans, des formes de micro-Eglises ont colonisé progressivement le territoire britannique. On estime à 2’000 le nombre de ces groupes d’environ 40 personnes qui se rassemblent pour vivre leur vie chrétienne.
Appelés "fresh expressions", ces groupes sont très variés. Certains sont plus liturgiques et méditatifs. D’autres s’intéressent aux businessmen de la city londonienne. D’autres encore s’adressent aux familles avec enfants ou aux mères célibataires.
George Lings est l’un des meilleurs connaisseurs de ces "fresh expressions". Il nous résume leur histoire et nous explique le fonctionnement de ce que l’Eglise d’Angleterre nomme désormais son "économie mixte", une cohabitation de l’ancien et du nouveau.
Cette évolution génère de l’intérêt de la part de nombreuses Eglises en Europe et aux Etats-Unis. En Suisse, la pasteure zurichoise Sabrina Muller est devenue la cheville ouvrière du mouvement. Elle consacre actuellement une thèse à cette nouvelle forme de communautés et nous explique comment elle inscrit ses propres initiatives paroissiales dans la créativité induite par les "fresh expressions".
Depuis dix ans, des formes de micro-Eglises ont colonisé progressivement le territoire britannique. On estime à 2’000 le nombre de ces groupes d’environ 40 personnes qui se rassemblent pour vivre leur vie chrétienne.
Appelés "fresh expressions", ces groupes sont très variés. Certains sont plus liturgiques et méditatifs. D’autres s’intéressent aux businessmen de la city londonienne. D’autres encore s’adressent aux familles avec enfants ou aux mères célibataires.
George Lings est l’un des meilleurs connaisseurs de ces "fresh expressions". Il nous résume leur histoire et nous explique le fonctionnement de ce que l’Eglise d’Angleterre nomme désormais son "économie mixte", une cohabitation de l’ancien et du nouveau.
Cette évolution génère de l’intérêt de la part de nombreuses Eglises en Europe et aux Etats-Unis. En Suisse, la pasteure zurichoise Sabrina Muller est devenue la cheville ouvrière du mouvement. Elle consacre actuellement une thèse à cette nouvelle forme de communautés et nous explique comment elle inscrit ses propres initiatives paroissiales dans la créativité induite par les "fresh expressions".