Maurice Chappaz, le souffle du Vieux-Pays (4/5)
En proximité avec les vivants et les morts
Poète avant tout, Chappaz s’est senti dès sa vingtième année en résonance avec l’écriture de Ramuz dont ses professeurs au Collège de Saint-Maurice avaient su lui parler intelligemment. Puis, il s’est établi un temps à Froideville dans le Jorat pour se rapprocher de Gustave Roud dont il fera l’éloge dans Adieu à Roud, signé aussi par Chessex et Jaccottet en 1976. A cet égard, les morts auront compté autant que les vivants dans l’œuvre du poète valaisan.
"Adieu à Gustave Roud" par Maurice Chappaz avec la voix de Mousse Boulanger ("Marchands d’images", RSR II, 9 novembre 1977). Sur son recueil "A rire et à mourir" avec Irène Lichtenstein ("Miroirs", TSR, 3 avril 1983)
Par Bruno Séribat et Christian Ciocca
Poète avant tout, Chappaz s’est senti dès sa vingtième année en résonance avec l’écriture de Ramuz dont ses professeurs au Collège de Saint-Maurice avaient su lui parler intelligemment. Puis, il s’est établi un temps à Froideville dans le Jorat pour se rapprocher de Gustave Roud dont il fera l’éloge dans Adieu à Roud, signé aussi par Chessex et Jaccottet en 1976. A cet égard, les morts auront compté autant que les vivants dans l’œuvre du poète valaisan.
"Adieu à Gustave Roud" par Maurice Chappaz avec la voix de Mousse Boulanger ("Marchands d’images", RSR II, 9 novembre 1977). Sur son recueil "A rire et à mourir" avec Irène Lichtenstein ("Miroirs", TSR, 3 avril 1983)
Par Bruno Séribat et Christian Ciocca