On en parle
Depuis le 1er novembre 2012, les banques doivent rétrocéder à leurs clients les commissions qu’elles touchent lorsqu’elles placent des valeurs dans des actions, obligations et autres fonds de placement. Mais il apparaît que les banques se font tirer l’oreille. Pire, certaines tentent d’échapper à cette obligation, en modifiant leurs conditions générales, qu’elles font signer à leurs clients, pour leur demander de renoncer à cette rétrocession. Henry Buxant fait le point avec Zeynep Ersan Berdoz, rédactrice en chef de "Bon à Savoir".
Le sommaire de l’émission
- Rétrocession des commissions sur placements par les banquesDepuis le 1er novembre 2012, les banques doivent rétrocéder à leurs clients les commissions qu’elles touchent lorsqu’elles placent des valeurs dans des actions, obligations et autres fonds de placement. Mais il apparaît que les banques se font tirer l’oreille. Pire, certaines tentent d’échapper à cette obligation, en modifiant leurs conditions générales, qu’elles font signer à leurs clients, pour leur demander de renoncer à cette rétrocession. Henry Buxant fait le point avec Zeynep Ersan Berdoz, rédactrice en chef de "Bon à Savoir".
- Rendez-vous manqué chez le dentisteNous avons reçu le témoignage d'un auditeur: il est tombé malade durant la nuit et a raté son rendez-vous le lendemain matin. Il n'a évidemment pas eu la possibilité d'avertir son dentiste 24 heures à l'avance... Et voilà qu'il reçoit une facture de plus de 300 fr. pour cette consultation qui n'a pas eu lieu! Surpris par ce procédé, Yves-Alain Cornu a demandé de quel droit on peut nous facturer une telle consultation-fantôme à Olivier Marmy, responsable de l'information de la Société suisse des médecins dentistes.
- La question minute: taxe environnementale et assurance maladieMon assurance maladie déduit une taxe environnementale de ma prime, de quoi s'agit-il? La réponse d'Anne-Sylvie Dupont, avocate et vice-présidente de l'ASSUAS-Vaud, interrogée par Frédérique Volery.
- La viande, l'ennemi dans nos assiettes?Une viande de plus en plus décriée. Décriée en termes d’impacts sur l’environnement et sur la santé, mais pas seulement. De plus en plus de voix s’élèvent également pour dénoncer l’exploitation animale que suppose le fait de manger de la viande. Pour décrypter ce phénomène et comprendre si effectivement il y a urgence à réduire, voire arrêter notre consommation, Muriel Mérat a invité Gabriella Calderara, nutritionniste à la clinique de la Lignière à Gland, et Eric Birlouez, ingénieur agronome de formation, historien et sociologue de l’alimentation. Disciplines qu'il enseigne notamment à l’institut supérieur d’agriculture de Lille.