Simonin m'était conté
Francine Simonin presque une légende vivante, peintre, dessinatrice, graveuse, elle établit depuis plus de 50 ans un corps à corps avec son art; une énergie créative à sans cesse remettre en jeu, une cigarette au bec pour tendre vers le bon rythme. L'artiste suisse romande expose au Musée d'art de Pully et à la Galerie Gétaz de Mont-sur-Rolle.
Un entretien de Florence Grivel.
Un entretien de Florence Grivel.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- La surveillance panoptique, après les révélations de SnowdenUn an après les révélations du lanceur d’alerte Edouard Snowden et 30 ans après la mort du philosophe Michel Foucault, auteur de "Surveiller et punir", les problématiques autour de la surveillance prouvent que ce que le théoricien du système panoptique a perçu de notre société, est, plus que jamais, d’actualité.
Mais ce que Foucault ou Deleuze n’ont pas pu anticiper, c’est l’essor et surtout l’impact des nouvelles technologies sur la pratique de la surveillance panoptique. - "Le Jardin d'Omar" de Bernard VoïtaPremière exposition monographique proposée par le Centre d'art contemporain d'Yverdon-les-Bains, "Le Jardin d'Omar" présente les travaux récents de Bernard Voïta.
Rencontre avec Karine Tissot, directrice du CAC. - Simonin m'était contéFrancine Simonin presque une légende vivante, peintre, dessinatrice, graveuse, elle établit depuis plus de 50 ans un corps à corps avec son art; une énergie créative à sans cesse remettre en jeu, une cigarette au bec pour tendre vers le bon rythme. L'artiste suisse romande expose au Musée d'art de Pully et à la Galerie Gétaz de Mont-sur-Rolle.
Un entretien de Florence Grivel. - "Zero Theorem" de Terry GilliamLorsqu'on découvre Qohen, le héros de "Zero Theorem" (magistral Christoph Waltz), il est assis, nu, avec sa console face à son ordinateur. Il est posé au milieu de la nef de l'église désaffectée qui lui sert de logis.
Un film d'anticipation, qui rate sa cible avec classe. La critique de Christine Matthey - Un scribouillard de polars chez les Helvètes (2/5)Une allure rabelaisienne.
Dès le premier titre signé San-Antonio, "Réglez-lui son compte" en juillet 1949, Frédéric Dard s'exprimait déjà avec un vocabulaire français de trois cents mots truffés d’inventions, néologismes gouteux et truculents que certains critiques ont comparés à la langue savoureuse de Rabelais au 16e siècle.
Enquête sur un phénomène littéraire avec Frédéric Dard par Georges Kleinmann ("Continents sans visa", TSR, 2 novembre 1967). San-Antonio et Bérurier, les personnages de Frédéric Dard par Jacques Bofford ("Magazine de l'Info", RSR I, 17 juin 1968)
Par Patrick Lenoir et Christian Ciocca