Mise sous pression à cause des impôts élevés qu'elle paie, courtisée à la fois par la gauche et par la droite qui peinent pourtant à la défendre, la classe moyenne suisse va-t-elle réussir à survivre? Lausanne, pourtant ville à majorité de gauche, a décidé de ponctionner davantage la classe moyenne en augmentant le tarif de l'accueil de jour des enfants. La classe moyenne dont la défense pourrait bien d'ailleurs devenir l'un des principaux thèmes de la prochaine campagne des élections fédérales. Pour en parler, Hans Ulrich Jost, historien, professeur à l'université de Lausanne.
"La classe moyenne n'existe pas" (Hans-Ulrich Jost, historien et professeur UNIL)
Publié