Arts visuels: De mèche avec Lorna Bornand
Le cheveu dans lʹart nʹest pas innocent. Lorna Bornand le sait, mais ça ne lʹempêche pas de lʹutiliser comme moyen artistique. Ainsi, depuis quelques années, lʹartiste suisse romande travaille principalement avec des cheveux.
Lorna Bornand présente deux installations tridimensionnelles en cheveux à l'occasion de son exposition "De mèche" au Musée Gruérien de Bulle, à voir jusquʹau 23 août 2015.
Lorna Bornand présente deux installations tridimensionnelles en cheveux à l'occasion de son exposition "De mèche" au Musée Gruérien de Bulle, à voir jusquʹau 23 août 2015.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Christophe Honoré, réalisateurLe dernier long métrage de Christophe Honoré, "Métamorphoses", est une adaptation du texte du poète latin Ovide. Un long métrage audacieux et poétique, qui renouvelle notre regard sur les mythes antiques et révèle leur portée dans le monde moderne.
Christophe Honoré est l'invité de Christine Gonzalez. - Arts visuels: De mèche avec Lorna BornandLe cheveu dans lʹart nʹest pas innocent. Lorna Bornand le sait, mais ça ne lʹempêche pas de lʹutiliser comme moyen artistique. Ainsi, depuis quelques années, lʹartiste suisse romande travaille principalement avec des cheveux.
Lorna Bornand présente deux installations tridimensionnelles en cheveux à l'occasion de son exposition "De mèche" au Musée Gruérien de Bulle, à voir jusquʹau 23 août 2015. - Cinéma: C'est de la daube! (2/4)Les mauvais films, les nanards, les bouses, les prétentieux, les nuls, tout le cinéma passe à la moulinette de François Forestier. Critique de cinéma au Nouvel Observateur, auteur d’une anthologie du nanard en 2 volumes, François Forestier nous raconte le pire du cinéma mondial en 4 épisodes.
Lire aussi:
- "101 Nanars, une anthologie du cinéma affligeant (mais hilarant)", 1996. (éd. Denoël)
- "Le retour des 101 nanars, une nouvelle anthologie du cinéma navrant (mais désopilant)", 1997 (éd. Denoël) - Théâtre: D’acierLe metteur en scène Robert Sandoz se plonge dans le roman bien trempé de Silvia Avallone: à Piombino, les prolos triment sous le soleil et deux adolescentes rêvent d’amour et d’émancipation. Ces "Raisins de la colère" à l’italienne donnent une pièce au goût de métal, de friction, de fusion et de désirs fracassés.
A découvrir sur les scènes romandes et au micro de Thierry Sartoretti.