Bousculade meurtrière à La Mecque: le défi de la foule
717 fidèles ont été tués lors d'une bousculade à La Mecque, jeudi. Un mouvement de foule qui panique. C’est un scénario redouté par les autorités qui tentent de canaliser et contrôler l’immense foule. Interview de Sylvia Chiffoleau, chargée de recherche en histoire contemporaine au CNRS, rattachée au Laboratoire de recherche historique Rhône Alpes (Lyon), auteure de "Le Voyage à La Mecque" (Belin, 2015).
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Bousculade meurtrière à La Mecque: le défi de la foule717 fidèles ont été tués lors d'une bousculade à La Mecque, jeudi. Un mouvement de foule qui panique. C’est un scénario redouté par les autorités qui tentent de canaliser et contrôler l’immense foule. Interview de Sylvia Chiffoleau, chargée de recherche en histoire contemporaine au CNRS, rattachée au Laboratoire de recherche historique Rhône Alpes (Lyon), auteure de "Le Voyage à La Mecque" (Belin, 2015).
- Les relations entre Catalogne et institutions européennes"Els Segadors", "les faucheurs" en français, c’est l’hymne que se sont donnés les Catalans. Cet hymne rappelle la guerre des faucheurs, ou des moissonneurs, au 17e siècle, qui a vu la Catalogne historique être séparée. Et certains rêvent d’en faire un jour l’hymne national d’un Etat indépendant et d'un Etat membre de l’Union européenne. Les élections régionales de cette fin de semaine seraient un premier pas pour les indépendantistes. Mais le gouvernement catalan n’a pas attendu cette indépendance pour ouvrir une représentation permanente auprès des institutions européennes. Si l’Ecosse ou la Bavière disposent aussi de telles structures, celle de la Catalogne assume sa volonté de devenir une véritable représentation nationale. L'interview d'Amadeu Altafaj, représentant permanent de la Catalogne auprès de l’Union européenne.
- La voix des candidats a une forte influence sur leur chance de se faire élireOn savait que le physique des candidats à une élection est déterminant, mais la voix l'est également. Pour se faire élire, mieux vaut avoir une voix basse. Ce sont les conclusions d'une étude récemment publiée dans la revue PLOS ONE.