Le Journal du matin

Cette semaine dans "InterCités", on ouvre une page consacrée à la "mobilité de demain". On va s'intéresser à différents projets en cours dans différents cantons. Ce vendredi matin, à l'occasion du cinquième et dernier volet de cette série, on se penche sur la mobilité dans la science-fiction. Invité: Marc Atallah, directeur de la Maison d'Ailleurs à Yverdon.

La lutte d’influence entre l’Iran et l’Arabie saoudite, entre islam chiite et islam sunnite, s’étend à l’Afrique occidentale. C’est ce qu’illustrent les incidents qui ont fait de nombreux morts au nord du Nigeria il y a quelques jours.

Alors que le Super G masculin de ski alpin se jouera ce vendredi à Val Gardena, des skieurs suisses ont des gros problèmes physiques, à l’image de Carlo Janka, qui pourtant fait un bon début de saison.

Ce vendredi matin, pas d'entrepreneurs ou de startups à présenter, après plusieurs mois passés à explorer les startups et l'innovation Suisse. Contrairement à ce qu'on pourrait penser, le monde des startups n'est pas tout rose. Toutes les jeunes et moins jeunes entrepreneurs qui ont décidé de se lancer dans l'aventure le confirment: c'est un choix de vie difficile et périlleux.

Et si 2016 était l’année de tous les changements pour le premier parti du pays, l’UDC. Avec deux conseillers fédéraux, dont l’un, Ueli Maurer, à la tête du très stratégique Département des Finances, le parti a de nouvelles responsabilités.

"Les Inventions" (5, mi bémol majeur), Jean-Sebastien Bach "Awargi (hindi) hungama hai Kyon barpa", Gulam Ali Bande originale du film "Yves Saint-Laurent"

Ce vendredi, on s'intéresse au mot "Noël".

"Tous unis pour l'emploi", c'est le slogan choisi par Johann Schneider-Ammann pour son année de présidence. Le Bernois entrera en fonction officiellement le 1er janvier. Le conseiller fédéral libéral-radical endossera le costume de président, mais n'abandonnera pas pour autant celui de ministre de l'Economie. Son interview.

Des élections législatives vont se tenir ce dimanche en Espagne. Un scrutin très attendu où aucun parti ne devrait remporter la majorité absolue, selon les sondages. Deux nouveaux partis, Podemos, anti-libéral, et Ciudadanos, du centre, viennent bousculer les socialistes et le parti populaire de droite. Reportage à Castellon, dans la région de Valence, de la correspondante de RTSinfo en Espagne Valérie Demon.

Noël, c'est donc la semaine prochaine. Les uns ont déjà en tête un menu tout ce qu'il y a de plus alléchants, les autres stimulent encore leurs neurones et leurs papilles. Après l’évocation des classiques chapons, huîtres et foies gras, place au clou des festivités: la bûche de Noël. Elle est plus tendance qu'on peut le croire. Un véritable défilé de mode gourmand.

Les Espagnols ont rendez-vous dimanche avec l'histoire. Ils renouvellent en effet leur Parlement. De l'issue de ce scrutin va dépendre la constitution du prochain gouvernement. Or, pour la première fois depuis les années 1980, les deux partis traditionnels, le parti populaire de droite de Mariano Rajoy, actuellement au pouvoir et le parti socialiste ouvrier espagnol, sont talonnés par deux partis émergents, le parti de centre-droit libéral Ciudadanos et Podemos, le parti à la gauche des socialistes, issu du mouvement des Indignés.

Cette élection devrait marquer un changement majeur dans l'histoire électorale de l'Espagne, mais ouvrir aussi une période d'instabilité politique. Pour en parler, l'écrivain, journaliste et analyste Andres Ortega.