Indiamore à Antigel
Avec "Indiamore", le pianiste Christophe Chassol présente un ciné-concert détonnant entre jazz, pop et musique traditionnelle. Une création audiovisuelle née entre Calcutta et Bénarès où sons, images et musiques traditionnelles se voient harmonisées en direct avec des notes de jazz, de pop, des motifs répétitifs contemporains ou des couleurs classiques. Un ciné-concert à voir le samedi 31 janvier 2015 à l’Epicentre dans le cadre du festival Antigel.
Christophe Chassol répond aux questions d’Yves Bron par téléphone.
Christophe Chassol répond aux questions d’Yves Bron par téléphone.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Envolées crétoisesDu fait de sa situation géographique, la Crète n’a jamais cessé d’accueillir et d’absorber de nouvelles influences culturelles, aussi bien d’Orient que d’Occident. Chantées ou purement instrumentales, dansées ou non, ses musiques reflètent une synthèse unique et riche.
Quelques-uns de ses plus généreux ambassadeurs en offrent de brillants échantillons à Genève, du 28 au 31 janvier 2015, à l’affiche du festival "Crète en fête" organisé conjointement par les Ateliers d’ethnomusicologie de Genève et le festival Antigel. Par Vincent Zanetti. - Indiamore à AntigelAvec "Indiamore", le pianiste Christophe Chassol présente un ciné-concert détonnant entre jazz, pop et musique traditionnelle. Une création audiovisuelle née entre Calcutta et Bénarès où sons, images et musiques traditionnelles se voient harmonisées en direct avec des notes de jazz, de pop, des motifs répétitifs contemporains ou des couleurs classiques. Un ciné-concert à voir le samedi 31 janvier 2015 à l’Epicentre dans le cadre du festival Antigel.
Christophe Chassol répond aux questions d’Yves Bron par téléphone. - Nina Stemme, Iseult sublimeQuatre soirées exceptionnelles à l’Opernhaus de Zurich pour la reprise d’un "Tristan und Isolde" mythique: des grandes voix – parmi lesquelles l’Iseult de la suédoise Nina Stemme – et une mise en scène de choix, signée par le troublion allemand Claus Guth, font le bonheur des mélomanes, jusqu’au 7 février 2015.
Et de notre chroniqueur Pierre Lepori.