Jonathan Delachaux… la tête à l’envers
Jonathan Delachaux avait 9 ans quand ses parents ont lancé Arts Môtiers, devenu depuis un rendez-vous incontournable d’art contemporain dans le val de Travers. Le gamin ne ratera pas une des sept éditions et déjà il pressent que sa vie ne sera jamais sans arts visuels.
En 1996, peu avant d’être accepté à l’Ecole d’Art Visuel de Genève, il a vingt ans quand le hasard lui fait croiser Vassili, Johan et Naïma, trois gamins de treize ans. Ils ont justement disparu. Jonathan participe activement aux recherches. Il les retrouvera quelques semaines plus tard dans un squat genevois et ils ne se quitteront plus.
Désormais Vassili, Johan et Naïma deviennent ses modèles attitrés, une source inépuisable d’inspiration… En 2015, dans une monographie parue aux éditions Periferia, Jonathan Delachaux retrace ce compagnonnage de longue haleine avec des êtres imaginaires devenus plus vrais que nature.
Une proposition de Marlène Métrailler, dans une réalisation de Samuel Morier-Genoud.
En 1996, peu avant d’être accepté à l’Ecole d’Art Visuel de Genève, il a vingt ans quand le hasard lui fait croiser Vassili, Johan et Naïma, trois gamins de treize ans. Ils ont justement disparu. Jonathan participe activement aux recherches. Il les retrouvera quelques semaines plus tard dans un squat genevois et ils ne se quitteront plus.
Désormais Vassili, Johan et Naïma deviennent ses modèles attitrés, une source inépuisable d’inspiration… En 2015, dans une monographie parue aux éditions Periferia, Jonathan Delachaux retrace ce compagnonnage de longue haleine avec des êtres imaginaires devenus plus vrais que nature.
Une proposition de Marlène Métrailler, dans une réalisation de Samuel Morier-Genoud.