Le sommaire de l’émission
- Présenté par Didier Duployer
- Pour combattre le franc fort les agriculteurs renforcent la qualité de leur offreL’agriculture suisse produit aujourd’hui 55% de ce que la population mange dans notre pays, le solde étant des produits étrangers souvent moins chers. Face au franc fort et à un tourisme alimentaire qui s’est intensifié, les producteurs et les grands chefs de la cuisine gastronomique ont décidé d’agir en renforçant encore la qualité de leur offre.
- Canonisation massive des victimes du génocide arménienOn a beaucoup parlé ces derniers jours de l’utilisation du mot "génocide" à propos du massacre dont ont été victimes les Arméniens. Mais le chef de l'Eglise arménienne s’apprête à décerner un autre qualificatif à toutes les victimes des événements de 1915: le terme de "martyr".
- De plus en plus d'inscrits aux courses pédestres suissesPrès de 26'000 participants se sont inscrits aux 20 kilomètres de Lausanne. L'augmentation des inscriptions est vertigineuse. Elle touche toutes les courses pédestres de Suisse, qui doivent adapter leur organisation.
- L’homéopathie passe un grand oral aux Etats-UnisVendues sans prescription et pour des maladies qui incluent l’asthme, les gélules homéopathiques sont très peu régulées aux Etats-Unis. Ni leur efficacité ni leur innocuité n’est surveillée. Les autorités américaines ont organisé un grand débat pour savoir s’il faudrait durcir l’encadrement de ce marché en pleine expansion. Invité: Pierre-Yves Rodondi, médecin, homéopathe, collaborateur du Groupe de Recherche et d'Enseignement sur les Médecines Complémentaires au CHUV.
- Par Georges Pop et Patrick Chaboudez
- Laetitia Guinand: pour vivre, le MCG doit fusionnerPas de pitié pour les formations isolées. Les Municipales genevoises montrent bien les limites de l’émiettement politique. La sanction est sévère pour les partis de l’extrême, Ensemble à gauche et l’UDC. Mais aussi pour le MCG, qui devrait finalement perdre tous ses représentants aux exécutifs communaux.
- Brigitte Rosset, les références musicales du jour"Sweet dreams (are made of this)", Eurythmics "The logical song", Supertramp "Ella, elle l'a", France Gall
- Présenté par Valérie Droux
- Bienvenue à TweetvilleA Jun, petite ville de 3500 habitants d'Andalousie, quand un citoyen a quelque chose à dire, à faire remarquer ou à demander à son maire, il le tweete et ce dernier répond et agit. Les services municipaux de la commune, dont la police, sont également tous présents sur le réseau social, une manière de rendre visible et transparent leur travail. Selon le maire Jose Antonio Rodriguez (@JoseAntonioJun), cette politique 2.0 permet d'économiser de l'argent et du temps.
- Que doit faire la Suisse face au drame des migrants de la Méditerranée?Les appels à l'action face au drame des migrants en Méditerranée se multiplient, sans rien donner de concret. Pourtant, la Suisse pourrait faire beaucoup et rapidement. C'est la conviction de Michel Diot. Ex-officier de marine français, il a été reçu récemment par des représentants de plusieurs départements fédéraux. Son idée de financer un bateau de sauvetage privé est déjà à l'étude, son interview.
- Le génocide arménien, entre réconciliation et pardonA l’approche du centenaire du génocide arménien commémoré le vendredi 24 avril, retour sur les derniers Arméniens qui vivent, isolés et discrets, dans les hautes montagnes du sud-est de la Turquie. L’un d’eux, Aziz Daadjeu, se bat pour sauver le patrimoine rural de cette communauté décimée.
- La Suisse commerce-t-elle plus avec les régions françaises frontalières qu'avec le Brésil ou l’Inde?Ce mercredi matin, Factuel revient sur une déclaration du ministre des Affaires étrangères, Didier Burkhalter: "Si vous prenez, par exemple, la région Rhône-Alpes ou la région de l’Alsace, vous avez des échanges commerciaux par année qui sont plus importants que ceux qu’on a avec le Brésil ou avec l’Inde ou avec la Russie." Vrai ou faux?
- Jacques Sémelin, historien françaisEn avril 1915 débutait le génocide des Arméniens par les soldats de l'empire ottoman. Cent ans plus tard, la Turquie refuse toujours de le reconnaître alors que différents pays ont franchi le pas. Pourquoi ces blocages? Pourquoi est-ce si important de donner le nom de "génocide" à cet événement? Historien, spécialiste des génocides, Jacques Sémelin est l'auteur de "Purifier et détruire" aux éditions du Seuil.
- Présenté par Sandra Viscardi