On en parle
Une nouvelle extension est née le 7 septembre 2015 sur le net: .swiss. Mais pour l’instant, seules les entreprises suisses inscrites au registre du commerce peuvent déposer une demande afin de se voir attribuer une adresse se terminant en .swiss. Ces noms de domaines pourront également être attribués à des institutions suisses, mais dans tous les cas, les sites web rattachés à une adresse en .swiss devront véhiculer des valeurs mondialement reconnues comme la qualité, la précision et la fiabilité helvétiques. On en parle avec Caroline Sauser, cheffe de la communication de l’OFCOM.
Le sommaire de l’émission
- .swiss, la vitrine du Swissness sur le netUne nouvelle extension est née le 7 septembre 2015 sur le net: .swiss. Mais pour l’instant, seules les entreprises suisses inscrites au registre du commerce peuvent déposer une demande afin de se voir attribuer une adresse se terminant en .swiss. Ces noms de domaines pourront également être attribués à des institutions suisses, mais dans tous les cas, les sites web rattachés à une adresse en .swiss devront véhiculer des valeurs mondialement reconnues comme la qualité, la précision et la fiabilité helvétiques. On en parle avec Caroline Sauser, cheffe de la communication de l’OFCOM.
- Gyropodes: de drôles d’engins inclassablesL’OFROU a enfin légiféré au sujet des gyropodes. Ces engins à l’équilibre incertain pour un utilisateur non averti ont désormais leur propre catégorie de véhicules. Ils peuvent donc circuler sur la voie publique. Le hic c’est que les gyropodes et monocycles électriques doivent être homologués pour être immatriculés. Or peu le sont. Que faire des engins vendus dans le commerce. Un certain flou permet une certaine tolérance.Un sujet proposé par Henry Buxant. Avec Jean-Luc Mazzone, importateur de gyropodes, Marie Neuhaus, propriétaire d’un monocycle électrique, Jean-Christophe Sauterel, porte-parole de la police cantonale vaudoise, et Gregory, un utilisateur de monocycle électrique.
- Payer sans consommerUn resto qui facture 2 francs le fait de ne pas consommer de boissons et perçoit une TVA sur ce montant, est-ce légal? La réponse de Gilles Meystre, président de Gastrovaud, Paolo Trapuzzano, patron de la pizzeria "Chez Paolo" à Gland. Un sujet de Théo Chavaillaz.
- Marchander, c’est parfois possibleIl a beau ne pas faire partie de la culture européenne, le marchandage n’en demeure pas moins possible dans notre région. Même si la plupart des grands distributeurs se défendent d’entrer en matière, plusieurs marchandeurs invétérés nous livrent leurs secrets. Forts de leurs astuces, nous avons pu tester, en collaboration avec le magazine "Bon à Savoir". Résultat : beaucoup d’échecs, mais quelques réussites tout de même.Yves-Alain Cornu vous livre les conseils à retenir.