Un peintre à contre-courant
Ce n’est pas la révolte qui motive le peintre bullois Jacques Cesa, mais la douleur. Celle, profonde, physique, qui l’envahit quand on annonce le naufrage d’un bateau de réfugiés en Méditerranée.
A bientôt 70 ans, il part à leur rencontre, de Bulle jusqu’à la côte africaine, en passant par Lampedusa, pour témoigner par ses dessins du parcours de ces hommes, femmes et enfants poussés loin de chez eux par la guerre ou la faim.
A bientôt 70 ans, il part à leur rencontre, de Bulle jusqu’à la côte africaine, en passant par Lampedusa, pour témoigner par ses dessins du parcours de ces hommes, femmes et enfants poussés loin de chez eux par la guerre ou la faim.