Voyage au Groenland 3/5
Voyage en 5 étapes dans la baie de Disko, sur la côte ouest du Groenland.
Le Groenland, situé dans l’arc arctique, où le réchauffement climatique se manifeste plus intensément encore qu’ailleurs sur la planète.
Aujourd’hui Illimanaq.
Les passagers du Rembrandt Von Rijn font escale à Illimanaq. Ce petit village sur la rive Sud-est de la Baie de Disko ne compte plus aujourd’hui qu’une soixantaine d’habitants, contre plus d’une centaine, il n’y a encore qu’une dizaine d’années.
Il n’en reste pas moins très représentatif de la société et de la culture inuit aujourd’hui. Une poignée de maisons en bois colorées, adossées à la colline rocheuse qui domine la baie. Une église, une école, une superette. Pas de route, mais des sentiers pour circuler entre les maisons.
Et puis surplombant légèrement le village, un bâtiment: c’est le groupe électrogène, alimenté au fioul, qui fournit l’électricité à toute la communauté.
Quant au réseau d’eau, il est alimenté par une usine de désalinisation de l’eau mer. Un paradoxe quand on sait que le Groenland dispose avec l'inlandsis, de la plus grande réserve d’eau douce au monde. Il y a encore une dizaine d’années, les Inuits allaient d’ailleurs puiser leur eau au pied du glacier.
Si les énergies fossiles sont encore indispensables à ces petites communautés pour produire leur électricité, rien ne dit que cela ne change pas demain.
Des projets sont en cours, comme par exemple le recours à l'hydroélectricité en utilisant l’eau de fonte des glaciers. Un projet qui ne concerne pour l’instant que les villes, mais qui révèle qu’au Groenland aussi, les choses bougent.
Visite et explications avec Pierre Taverniers, météorologue et guide toursitique.
Le Groenland, situé dans l’arc arctique, où le réchauffement climatique se manifeste plus intensément encore qu’ailleurs sur la planète.
Aujourd’hui Illimanaq.
Les passagers du Rembrandt Von Rijn font escale à Illimanaq. Ce petit village sur la rive Sud-est de la Baie de Disko ne compte plus aujourd’hui qu’une soixantaine d’habitants, contre plus d’une centaine, il n’y a encore qu’une dizaine d’années.
Il n’en reste pas moins très représentatif de la société et de la culture inuit aujourd’hui. Une poignée de maisons en bois colorées, adossées à la colline rocheuse qui domine la baie. Une église, une école, une superette. Pas de route, mais des sentiers pour circuler entre les maisons.
Et puis surplombant légèrement le village, un bâtiment: c’est le groupe électrogène, alimenté au fioul, qui fournit l’électricité à toute la communauté.
Quant au réseau d’eau, il est alimenté par une usine de désalinisation de l’eau mer. Un paradoxe quand on sait que le Groenland dispose avec l'inlandsis, de la plus grande réserve d’eau douce au monde. Il y a encore une dizaine d’années, les Inuits allaient d’ailleurs puiser leur eau au pied du glacier.
Si les énergies fossiles sont encore indispensables à ces petites communautés pour produire leur électricité, rien ne dit que cela ne change pas demain.
Des projets sont en cours, comme par exemple le recours à l'hydroélectricité en utilisant l’eau de fonte des glaciers. Un projet qui ne concerne pour l’instant que les villes, mais qui révèle qu’au Groenland aussi, les choses bougent.
Visite et explications avec Pierre Taverniers, météorologue et guide toursitique.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Voyage au Groenland 3/5Voyage en 5 étapes dans la baie de Disko, sur la côte ouest du Groenland.
Le Groenland, situé dans l’arc arctique, où le réchauffement climatique se manifeste plus intensément encore qu’ailleurs sur la planète.
Aujourd’hui Illimanaq.
Les passagers du Rembrandt Von Rijn font escale à Illimanaq. Ce petit village sur la rive Sud-est de la Baie de Disko ne compte plus aujourd’hui qu’une soixantaine d’habitants, contre plus d’une centaine, il n’y a encore qu’une dizaine d’années.
Il n’en reste pas moins très représentatif de la société et de la culture inuit aujourd’hui. Une poignée de maisons en bois colorées, adossées à la colline rocheuse qui domine la baie. Une église, une école, une superette. Pas de route, mais des sentiers pour circuler entre les maisons.
Et puis surplombant légèrement le village, un bâtiment: c’est le groupe électrogène, alimenté au fioul, qui fournit l’électricité à toute la communauté.
Quant au réseau d’eau, il est alimenté par une usine de désalinisation de l’eau mer. Un paradoxe quand on sait que le Groenland dispose avec l'inlandsis, de la plus grande réserve d’eau douce au monde. Il y a encore une dizaine d’années, les Inuits allaient d’ailleurs puiser leur eau au pied du glacier.
Si les énergies fossiles sont encore indispensables à ces petites communautés pour produire leur électricité, rien ne dit que cela ne change pas demain.
Des projets sont en cours, comme par exemple le recours à l'hydroélectricité en utilisant l’eau de fonte des glaciers. Un projet qui ne concerne pour l’instant que les villes, mais qui révèle qu’au Groenland aussi, les choses bougent.
Visite et explications avec Pierre Taverniers, météorologue et guide toursitique. - Le philosophe Dominique BourgRencontre avec Dominique Bourg, philosophe et professeur à la Faculté des Géosciences et de l’Environnement de l’UNIL, à l'occasion de la sortie de l'ouvrage "Le Dictionnaire de la pensée écologique" paru au Editions Presses Universitaires de France, PUF, et dont il a co-dirigé la rédaction avec Alain Papaux.
- Rencontre avec Luc JaquetA l'occasion de la sortie du long métrage documentaire "La Glace et le Ciel", Lucile Solari rencontre son réalisateur Luc Jaquet. Elle revient notamment avec lui sur son association et ONG Wild Touch, créée sous son impulsion, qui co-produit et finance en partie le film.
Fondée en 2010 afin de soutenir des projets environnementaux et de développement durable, cette association permet ainsi de diffuser des messages et d'expliquer ses engagements auprès d'un plus grand public par le biais de financement de projets documentaires. - Allo la Terre !L’actualité vue et commentée par des rédacteurs en chefs de revues environnementales en Suisse et en Europe francophone.
Cette semaine: Jacques Mirenowicz de LaRevueDurable à propos d'un rapport, présenté conjointement par l'organisation environnementale "Croix-Verte suisse" et "Pure Earth" (anciennement Blacksmith Institute), listant six polluants environnementaux les plus dangereux. Ces derniers menacent en effet près de cent millions de personnes à travers le monde, et concernent les couches les plus pauvres de la population.