L'invité de la rédaction
Le président turc Recep Tayyip Erdogan a annoncé mercredi l'instauration de l'état d'urgence pour 3 mois dans tout le pays. Il permettra à l'exécutif turc de prendre de nouvelles lois sans passer par le Parlement et de limiter ou suspendre certains droits et libertés. Pour analyser ces nouveaux rebondissements, Andreas Gross, ancien conseiller national socialiste, qui a dirigé l'an dernier la délégation du Conseil de l'Europe pour les élections turques.