Diane de Margerie "Mon éventail japonais"
C’est dans un salon asiatique parisien que Diane de Margerie nous accueille pour évoquer deux livres qui disent son amour du Japon et de l’Asie en général.
Raconter l’Asie de Diane de Margerie et de ses parents, c’est raconter une aventure de vie qui traverse le XXe siècle.
Traductrice et écrivain, Diane de Margerie a vécu son adolescence en Chine mais elle tient son amour du Japon de ses lectures d’enfance, au fond de la Beauce, où elle dévora plus de soixante classiques japonais (dont Mishima et Kawabata, ses préférés). C’est aussi le Japon ancien et son esthétique qu’elle apprécie, de la sourde révolte qu’on devine chez les femmes de la cour dans Le Dits du Genji de Sei Shonagon, à l’esthétique et à la symbolique des estampes, des haikus et des éventails.
Par David Collin
A lire : Diane de Margerie, Mon éventail japonais, Philippe Rey, 2016. Diane de Margerie, De la grenouille au papillon, Arléa, 2016.
Une nouvelle diffusion de l’émission du 16 mai 2016
Raconter l’Asie de Diane de Margerie et de ses parents, c’est raconter une aventure de vie qui traverse le XXe siècle.
Traductrice et écrivain, Diane de Margerie a vécu son adolescence en Chine mais elle tient son amour du Japon de ses lectures d’enfance, au fond de la Beauce, où elle dévora plus de soixante classiques japonais (dont Mishima et Kawabata, ses préférés). C’est aussi le Japon ancien et son esthétique qu’elle apprécie, de la sourde révolte qu’on devine chez les femmes de la cour dans Le Dits du Genji de Sei Shonagon, à l’esthétique et à la symbolique des estampes, des haikus et des éventails.
Par David Collin
A lire : Diane de Margerie, Mon éventail japonais, Philippe Rey, 2016. Diane de Margerie, De la grenouille au papillon, Arléa, 2016.
Une nouvelle diffusion de l’émission du 16 mai 2016