Femme, pasteure, et pourquoi pas prêtre (3/5)
L'autel des femmes.
Bon nombre d'Eglises protestantes ont pu s'ouvrir aux ministères féminins car elles viennent elles-mêmes d'une rupture d'avec la tradition. De plus, dans leur vision ecclésiale, le pouvoir ne s'épuise pas dans le ministère pastoral, les paroisses ayant un réel poids.
Professeur de théologie pratique à l'Université de Genève, Elisabeth Parmentier l’éclaire et rappelle que les premières femmes pasteures ont avant tout été des exceptions, qu’elles n’ont-elles-mêmes pas milité pour l’ouverture du sacerdoce à toutes les femmes. D’ailleurs, cette perspective a pu rencontrer la résistance des femmes elles-mêmes sur le terrain des paroisses.
Bon nombre d'Eglises protestantes ont pu s'ouvrir aux ministères féminins car elles viennent elles-mêmes d'une rupture d'avec la tradition. De plus, dans leur vision ecclésiale, le pouvoir ne s'épuise pas dans le ministère pastoral, les paroisses ayant un réel poids.
Professeur de théologie pratique à l'Université de Genève, Elisabeth Parmentier l’éclaire et rappelle que les premières femmes pasteures ont avant tout été des exceptions, qu’elles n’ont-elles-mêmes pas milité pour l’ouverture du sacerdoce à toutes les femmes. D’ailleurs, cette perspective a pu rencontrer la résistance des femmes elles-mêmes sur le terrain des paroisses.