Gabriel Galice, "Lettres helvètes. 2010-2014"
Gabriel Galice, à travers Guillaume, l’auteur de ses lettres, et certains de ses correspondants, commente les années 2010 à 2014, avec humour, causticité pour certaines, colère pour d’autres. A l’origine billet d’humeur sur un blog, Gabriel Galice nous livre ici une chronique de l'actualité française, suisse et internationale, vue par un français en Suisse. L’auteur est également Directeur de l’Institut de recherche sur la paix à Genève, politologue et économiste, et réside en Suisse.
Rencontre avec Gabriel Galice.
Rencontre avec Gabriel Galice.
Le sommaire de l’émission
- Émission entière
- Le Clavier bien tempéré de Bach: l'ascension d'une cordée d'étudiants (19/24)J.-S. Bach fait le tour des tonalités: 24 explorations du potentiel expressif de chacune d'elles.
"Bien tempéré" car on a alors uniformisé les gammes -un peu irrégulières dans la nature- en une arithmétique rigoureuse des douze demi-tons.
Que gagnait-on par cette normalisation? Pouvoir moduler, voyager librement, sans limites et sans hiatus entre des tonalités parfois incompatibles.
Sont nées alors pour le clavier des œuvres d'une expressivité et d'une virtuosité nouvelle. Chaque prélude explore un horizon expressif, la fugue exprime le potentiel de combinaisons fortes et sophistiquées.
En 24 étapes, les étudiants de Sylviane Deferne à la HEM de Genève nous invitent à une visite guidée du 2è livre du Clavier bien tempéré. - Gabriel Galice, "Lettres helvètes. 2010-2014"Gabriel Galice, à travers Guillaume, l’auteur de ses lettres, et certains de ses correspondants, commente les années 2010 à 2014, avec humour, causticité pour certaines, colère pour d’autres. A l’origine billet d’humeur sur un blog, Gabriel Galice nous livre ici une chronique de l'actualité française, suisse et internationale, vue par un français en Suisse. L’auteur est également Directeur de l’Institut de recherche sur la paix à Genève, politologue et économiste, et réside en Suisse.
Rencontre avec Gabriel Galice. - Avec la Manifesta 11, Zurich fait dialoguer artistes et citoyens (1/5)Le principe de Manifesta est simple. Cette Biennale nomade jette l’ancre tous les deux ans dans un coin d’Europe différent, si possible éloigné des grands réseaux du monde de l’art contemporain. Cette année, elle s’est arrêtée à Zurich à l’occasion des 100 ans du mouvement Dada, né au Cabaret Voltaire en 1916. Près de 30 projets inédits ont vu le jour, mettant en dialogue artistes internationaux et professionnels zurichois. Ces 30 "satellites" sont à découvrir aux 4 coins de la ville, parallèlement aux expositions plus classiques à voir dans les musées de la place.
Martine Béguin a rencontré le commissaire de cette Biennale, l’artiste allemand Christian Jankowski, ainsi que quatre artistes aux projets étonnants: galerie transformée en salon de coiffure pour chiens; œuvres exposées dans une boutique de lingerie; bateau de course dialoguant avec les dessins géants; vêtements créés pour le personnel d’un hôtel de luxe. A chaque fois, l’art rencontre la société. Et il y est question d’argent, forcément. De survie. De raison de vivre. Car Manifesta a pour titre cette année: "What people do for money". Manifesta 11 est à voir à Zurich jusqu’au 18 septembre 2016.