L'ethnologue Bernard Dupaigne revient sur 40 ans de "Désastres afghans"
15 ans après l’intervention américaine en Afghanistan, les talibans sont toujours là, et viennent d’annoncer ce mardi matin le début de leur "offensive de printemps". Cela fait plus de 40 ans que l’Afghanistan passe d’une crise à l’autre, comme en témoigne Bernard Dupaigne, ethnologue spécialiste de l'Asie et auteur de "Désastres afghans. Carnets de route, 1963-2014" (Gallimard).
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAu sommaire: un taux de suicide record chez le peuple indigène Attawapiskat inquiète le Canada; l'ethnologue Bernard Dupaigne revient sur 40 ans de "Désastres afghans" dans son dernier livre; et le deuxième épisode de la minisérie consacrée à l'art spolié.
- Un taux de suicide record chez le peuple indigène Attawapiskat inquiète le CanadaL’attention du Canada se porte sur le peuple indigène des Attawapiskat, dans le nord de l’Ontario. En une seule journée, il y a eu 11 tentatives de suicide dans cette communauté de 2000 habitants, et 100 depuis le mois de septembre. Interview de Marie-Pierre Bousquet, directrice des programmes en études autochtones de l’Université de Montréal.
- L'ethnologue Bernard Dupaigne revient sur 40 ans de "Désastres afghans"15 ans après l’intervention américaine en Afghanistan, les talibans sont toujours là, et viennent d’annoncer ce mardi matin le début de leur "offensive de printemps". Cela fait plus de 40 ans que l’Afghanistan passe d’une crise à l’autre, comme en témoigne Bernard Dupaigne, ethnologue spécialiste de l'Asie et auteur de "Désastres afghans. Carnets de route, 1963-2014" (Gallimard).
- L'art spolié (2/3): détectives du clair-obscurTout un Monde vous propose une minisérie de trois épisodes consacrée à l'art spolié sous le régime nazi. Coup de projecteur sur ce qu'on appelle les recherches de provenance. A Londres, Palmyre Manivet, enquêtrice pour la société Art recovery group est alertée par le gouvernement polonais qu'un buste du 18ème siècle signé Jean-Antoine Houdon vient d'apparaître sur le marché de l’art. Serait-ce le même que celui que les nazis ont emporté de Varsovie pendant la guerre?