Le 12h30
La France et la Grande-Bretagne ont trouvé un premier terrain d'entente pour régler la crise migratoire. Londres a accepté samedi d'accueillir des mineurs isolés, vivant au cœur de la "jungle" de Calais.
Le sommaire de l’émission
- Les négociations sur le conflit syrien provoquent des réactions sceptiques sur le terrainLes négociations pour trouver une solution au conflit syrien se poursuivent à Londres. Samedi à Lausanne, la rencontre entre les diplomates des pays impliqués n'a rien donné de concret. Ils se sont mis d'accord sur la préservation d’une Syrie "indivisible et laïque". Des déclarations qui suscitent des réactions sceptiques au Proche-Orient.
- Le Valais renouvelle ses exécutifs communauxLes citoyens valaisans de quelque 130 communes sont appelés aux urnes pour renouveler leurs exécutifs communaux. Des élections qui auront valeur de test avant le scrutin cantonal de mars.
- Le recteur de l'Université de Zurich ne veut pas d'un plafonnement des salairesMichael Hengartner, le recteur de l'Université de Zurich demande des exceptions au plafonnement des salaires des grandes écoles suisses afin de pouvoir continuer à jouer dans la "ligue des grands".
- La revue de presse alémaniqueTour d'horizon de la presse dominicale en Suisse alémanique avec un sujet revient partout, la colère des femmes est mondiale après les propos de Donald Trump.
- En Libye, les chrétiens occidentaux quittent massivement le paysLes chrétiens occidentaux étaient 100'000 en Libye avant la révolution de 2011. Ils ne sont plus que 5'000 aujourd'hui. Depuis la chute de Mouammar Kadhafi, la communauté chrétienne vit dans l'insécurité.
- La Grande-Bretagne accepte d'accueillir des mineurs de la "jungle" de CalaisLa France et la Grande-Bretagne ont trouvé un premier terrain d'entente pour régler la crise migratoire. Londres a accepté samedi d'accueillir des mineurs isolés, vivant au cœur de la "jungle" de Calais.
- Les Grecs, résignés, doivent chercher des alliés en Europe du SudPetros Markaris est épuisé. Depuis six ans, il écrit sur la crise et il vit la crise. Il décrit des Grecs sans espoir et résignés. Ils ne voient aucun parti qui pourrait les sortir de l’ornière financière et politique. L’écrivain ne croit pas qu’il puisse changer le monde, mais il espère qu’à travers ses romans policiers, les Grecs vont se poser des questions et réagir, son interview.