La guerre au Yémen se poursuit dans la quasi-indifférence
On ne parle plus beaucoup de la guerre au Yémen, éclipsée sur la scène internationale par ce qui se passe en Syrie, en Irak ou en Libye. Pourtant, cela fait plus d’un an que l’Arabie saoudite mène dans ce pays une campagne militaire contre les rebelles Houthis, qu’elle accuse d’être soutenus par l’Iran. Et si on en parle peu, c’est aussi parce que rares sont les journalistes à pouvoir y aller. L'interview de Vanessa Descouraux, grand reporter à Radio France, qui y était très récemment.
Le sommaire de l’émission
- Émission entièreAu sommaire: la guerre au Yémen éclipsée à l'international par les évènements en Syrie, en Irak ou en Libye, la Cour pénale internationale attend plus de soutien de ses Etats membres et la quinzième Biennale de Venise qui critique la globalisation et le tout béton.
- La guerre au Yémen se poursuit dans la quasi-indifférenceOn ne parle plus beaucoup de la guerre au Yémen, éclipsée sur la scène internationale par ce qui se passe en Syrie, en Irak ou en Libye. Pourtant, cela fait plus d’un an que l’Arabie saoudite mène dans ce pays une campagne militaire contre les rebelles Houthis, qu’elle accuse d’être soutenus par l’Iran. Et si on en parle peu, c’est aussi parce que rares sont les journalistes à pouvoir y aller. L'interview de Vanessa Descouraux, grand reporter à Radio France, qui y était très récemment.
- La Cour pénale internationale attend plus de soutien de ses Etats membresLa justice pénale internationale entend amener les personnes à répondre de leurs actes, avec pour objectif plus large de lutter contre l’impunité. Mais si les "outils" sont là, la volonté politique manque parfois. Interview de Fatou Bensouda, procureure générale de la Cour pénale internationale.
- La 15e Biennale de Venise met en avant la dimension politique de l'architecture"Des nouvelles du front", c'est le thème de la quinzième Biennale d'architecture de Venise qui s'est ouverte fin mai. Cette biennale est résolument engagée, selon les voeux du Chilien Diego Aravena qui a pris la direction de l'événement. Il a choisi de mettre en avant la dimension politique de l'architecture et sa responsabilité sociale, avec en toile de fond, une critique de la globalisation et du tout béton.